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Mis à jour: 11 mai 2025


M. de Piron,

En réalité, plus que Corneille, Racine et Molière, plus qu'Augier, Feuillet, Labiche et Meilhac, il aime Regnard, Gresset, Piron, Favart et Beaumarchais et Scribe et Dumas père. Il a la prédilection la plus tendre pour le théâtre du XVIIIe siècle et du temps de Louis-Philippe. Pourquoi? je ne saurais le dire. Voici quelques passages qui nous l'expliqueront tant bien que mal: Il y avait alors (au temps de Louis-Philippe) une délicatesse et une générosité qui donnaient le ton

Elle aurait tout aussi bien déclaré que M. Piron était un modèle de distinction et d'esprit, car la constatation de sa grand'mère lui était parvenue

Je vis monter au péristyle Boufflers, Ovide, Anacréon, Delille, et son ami Virgile, Bernis, Pannard, Chaulieu, Piron; Et ce dieu, les voyant paraître, Leur dit: «Amis, entrez chez moi; «Vos vers charmants ont fait connaître «De l'esprit le je ne sais quoi

Avec... M. Piron! s'exclama-t-il d'un ton d'indicible stupeur. Voil

M. Piron est véritablement un homme plein de sérieux et d'intelligence, Isabelle, dit Madame Norand d'un ton péremptoire, tandis que son hôte sortait de Maison-Vieille. Certainement, grand'mère, répondit machinalement Isabelle qui remettait de l'ordre dans le salon.

Ce fut avant la représentation du Gustave de Laharpe que Piron lança cette épigramme; il en fit une autre après la chute de la pièce; il y qualifia Laharpe sans façon de Lourd, froid, sec, éthique Dans le dramatique.

Il courut dans le temps une épigramme qui piqua, dit-on, le poète plus que la pièce même de Rivarol; on la peut lire dans les Mémoires secrets (23 décembre 1782). Piron l'eût écrite s'il eût vécu; c'est une protestation un peu crue du Dieu des Jardins contre les oripeaux du poète glacé. Ducis, vers le munie temps, écrivait

Il nous parle comme d'une chose toute simple et évidente «de la mollesse et de la pureté délicieuse de la versification de Regnard». Nous apprenons qu'après Molière «trois écrivains bourgeois, Marivaux, Gresset, Piron, dont l'âme n'était tissue que de délicatesse, de fierté, de noblesse, de pensées honnêtes, avaient épuré et divinisé la scène comique». M. Weiss nous dit ailleurs que «depuis qu'il sait lire, il a conçu pour ces deux prodiges, Dumas et Scribe, une passion infatigable et stupide». Le Verre d'eau lui semble inspiré par «une vue supérieure des choses humaines»; et il appelle enfin la «mixture Auber-Scribe» un «ferment divin Scribe fournissait la magie des situations et Auber la magie de l'expression».

Notre retraite était protégée par une arrière-garde nombreuse que commandait M. de Piron. Nous comptions être attaqués de ce côté-l

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cuthbert

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