United States or Uruguay ? Vote for the TOP Country of the Week !


Le Xe siècle est l'époque la plus triste de l'histoire de Paris comme de l'histoire de toute la France: les famines et les pestes sont continuelles; la guerre n'a point de relâche; on se croit près de la fin du monde. Aussi la ville ne prend aucun accroissement, et l'on n'y voit bâtir dans la Cité que les petites églises de <p.010> Saint-Barthélémy, de Saint-Landry, de Saint-Pierre-des-Arcis. Mais avec les rois de la troisième race, Paris reprend un peu de vie: de capitale du duché des Capétiens, elle devient capitale du royaume et profite de sa position géographique pour centraliser autour d'elle la plus grande partie de la France. Cependant son influence n'est pas d'abord politique: heureuse d'être ville royale et affranchie de la turbulente vie des communes, protégée par des franchises et des coutumes qui dataient du temps des Gaulois, vivant paisible

«Et la terre manquant de bras, les eaux du ciel ou des torrents débordés ont séjourné en marécages; et, sous ce climat chaud, leurs exhalaisons putrides ont causé des épidémies, des pestes, des maladies de toute espèce; et il s'en est suivi un surcroît de dépopulation, de pénurie et de ruine. «Oh, qui dénombrera tous les maux de ce règne tyrannique!

Une princesse aussi belle et née dans la puissance, qui doublerait la grandeur du plus grand roi, être ainsi associée avec de viles créatures louées avec l'argent même que fournissent vos coffres; avec d'infâmes aventurières, qui, pour de l'or, jouent avec tous les maux dont la corruption souille la nature; pestes contagieuses, qui pourraient empoisonner le poison; vengez-vous, ou celle qui vous porta n'était pas reine, et vous dégénérez de votre illustre origine.

Ils sont quelquefois aussi avides, aussi intrigants, aussi faux, aussi cruels; et toute la différence qui est entre les pestes de cour et les pestes de l'école, c'est que ces derniers sont plus ridicules.

Quelques-uns de ces globes meurent; Dans le semoun et le mistral Leurs mers sanglotent, leurs flots pleurent; Leur flanc crache un brasier central. Sphères par la neige engourdies, Ils ont d'étranges maladies, Pestes, déluges, incendies, Tremblements profonds et fréquents; Leur propre abîme les consume; Leur haleine flamboie et fume; On entend de loin dans leur brume La toux lugubre des volcans.

On devint prude et artificiel, aveugle au point d'avoir dans la vie un but défini. Alors vinrent les Gouvernements et les Philanthropes, ces deux pestes du siècle. Les premiers entreprirent de contraindre le peuple

Ce n'est pas aux étoiles que j'emprunte ma manière de voir, et cependant je crois que j'entends l'astronomie, non pour prédire la bonne ou la mauvaise chance, les pestes, les famines, ou les incidents de la saison; je ne sais pas non plus prévoir la fortune

Ah! ça, petites pestes, mieux serait

Quelle jolie paire de pestes! quand je pense qu'elles ont failli nous monter la tête

Les autres sont des sensualistes purs, infiniment tristes, de cette profonde tristesse épicurienne auprès de laquelle l'affliction du croyant semble presque de la joie. Cela est un fait, et il faut bien que je le dise, comme le moine Raoul Glaber notait dans sa chronique les pestes et les famines de son siècle effrayant. M. de Maupassant, du moins, ne nous a jamais flattés.