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Mis à jour: 9 juillet 2025


Eh bien, vous avez remarquer dans l'histoire, dans celle de France surtout, que chaque race a son point de départ, son point culminant et sa décadence. Voyez les Capétiens directs: partis de Hugues, ils arrivent

Moi, dit le cardinal de Lorraine, j'ai fait les recherches nécessaires, et je puis maintenant prouver que les Capétiens ont été des usurpateurs et que ceux qui leur ont succédé n'ont fait que perpétuer l'usurpation. Par Luther, duc de Lorraine, vous descendez de Charlemagne, Henri. Et vous, maréchal de Tavannes? dit Henri. J'ai mille fantassins prêts

Le Xe siècle est l'époque la plus triste de l'histoire de Paris comme de l'histoire de toute la France: les famines et les pestes sont continuelles; la guerre n'a point de relâche; on se croit près de la fin du monde. Aussi la ville ne prend aucun accroissement, et l'on n'y voit bâtir dans la Cité que les petites églises de <p.010> Saint-Barthélémy, de Saint-Landry, de Saint-Pierre-des-Arcis. Mais avec les rois de la troisième race, Paris reprend un peu de vie: de capitale du duché des Capétiens, elle devient capitale du royaume et profite de sa position géographique pour centraliser autour d'elle la plus grande partie de la France. Cependant son influence n'est pas d'abord politique: heureuse d'être ville royale et affranchie de la turbulente vie des communes, protégée par des franchises et des coutumes qui dataient du temps des Gaulois, vivant paisible

M. Henri Martin continue, avec un succès toujours croissant, l'important travail qu'il a eu le courage d'entreprendre, et qu'il aura, nous n'en doutons pas, la gloire de terminer bientôt. Les neuf premiers volumes de son Histoire de France s'étendaient depuis les origines de la Gaule primitive jusqu'au milieu du seizième siècle. D'abord M. Henri Martin avait raconté en deux volumes les fastes de la Gaule Indépendante, de la Gaule romaine et des deux dynasties frankes, la formation de la nation française et de la monarchie féodale des Capétiens. Les tomes III et IV renfermaient toute l'ère féodale, qui commence avec l'avènement de Hugues Capet et qui finit

Paris sous les Capétiens, jusqu'

Ce fut, au début, une guerre féodale, entre vassal et suzerain, hommes du même pays, et qui parlaient la même langue. Au commencement du quatorzième siècle, la lignée directe des capétiens s'étant éteinte, il y eut compétition pour la couronne de France entre deux princes français, dont l'un était le roi

À l'époque les Angevins gouvernaient les Capétiens, sous Hugues-Capet et Robert, ils semblent avoir essayé de se servir d'eux contre le Poitou, comme les Normands s'en servirent ensuite contre la Bourgogne. Mais, malgré ce que l'on nous conte d'une prétendue victoire d'Hugues-Capet sur le comte de Poitou, le Midi resta fort indépendant du Nord. C'est même plutôt le Midi qui exerça quelque influence sur les moeurs et le gouvernement de la France septentrionale. Constance, fille du comte de Toulouse, nièce de celui d'Anjou, régna, comme on a vu, sous Robert. Pour prolonger cette domination après la mort de son mari , elle voulait élever au trône son second fils Robert, au préjudice de l'aîné, Henri; mais l'

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