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Mis à jour: 5 juin 2025


Nous avons vu comment Sassacus, voulant exterminer les Anglais, crut faire entrer les deux Sachems dans sa cause. On prétend que Miantonimo hésita entre le désir de la vengeance te la perspective de la ruine des blancs. Roger Williams, sectaire persécuté pour ses doctrines religieuses, eut assez de charité envers ceux qui le poursuivaient, pour travailler en leur faveur. Il eut l'habileté de tourner contre les Pequots l'orage qui allait fondre sur les colonies. Le gouverneur Winthrop invita Miantonimo

L'Encyclopédie des gens du monde n'est pas mieux informée quand elle écrit: «La perte de sa femme qu'il aimait tendrement l'ayant plongé dans un chagrin profond, il tomba dans une maladie de langueur et se retira chez les Chartreux, dont le prieur reçut son dernier soupirLa nouvelle édition de la Biographie de Michaud, dit également: «Persécuté, resté veuf et seul, une maladie de langueur détermina sa retraite chez les Chartreux, la reconnaissance l'avait souvent accueilli.» «Plus tard, répète la Nouvelle Biographie de Didot qui fait si volontiers écho

La suite de la correspondance de Fouché avec Madame de Custine nous le montre assailli par des attaques de plus en plus violentes, luttant en désespéré pour le pouvoir qui lui échappe, et jouant avec audace le rôle d'un innocent persécuté: «Je fermerai, écrit-il, la bouche

Le seul soutien de Thomas, c'était le roi de France. Louis VII était trop heureux de l'embarras cette affaire mettait son rival. C'était d'ailleurs, comme on a vu, un prince singulièrement doux et pieux. L'évêque, persécuté pour la défense de l'

L'optimisme pur, et je ne dirai pas corrigé par la misanthropie, confirmé au contraire et comme renforcé par la misanthropie, chéri d'autant plus que la malice des hommes le gêne; le monde cru bon, non seulement malgré le mal, mais d'autant plus que le mal, pure invention des hommes, l'a pour un temps offusqué et apparemment enlaidi, voila Rousseau se tient obstinément, et d'où il ne veut pas sortir. Ses misères même l'y ramènent; et ici il a une idée qui ne laisse pas d'être juste, c'est que le pessimisme est une maladie d'homme heureux. Il est singulier, dit-il, que ce soit un Voltaire, avec ses cent mille livres de rente, qui se plaigne de l'organisation des choses, et un Rousseau, misérable et persécuté, qui la bénisse. Il n'a point tort, et le pessimisme vulgaire, celui qui n'aboutit point ou ne se rattache pas

«Vous ne pourriez avoir trouvé une meilleure méthode pour obtenir votre pardon, recouvrer votre honneur, et pour me consoler moi et vos amis, que de confesser vos torts et de détruire vous-même, dans tous les esprits, une opinion aussi ridicule qu'odieuse (ses prétendues persécutions). Dieu fasse que vous reconnaissiez pleinement votre erreur, et que cela vous soit une leçon pour l'avenir! Et cela sera ainsi, je l'espère, car je vous jure, sur mon honneur, qu'il n'y a personne au monde qui vous persécute ou qui songe seulement

M. d'Alopeus, mon collègue, avait la douce manie de se croire adoré. Il était persécuté par les passions qu'il inspirait: «Ma foi, disait-il, je ne sais ce que j'ai; partout je vais, les femmes me suivent. Madame d'Alopeus s'est attachée obstinément

J'ai deux pièces de théâtre en portefeuille. Le succès du Champi m'a mise en passe de gagner de l'argent. Le Théâtre-Français et tous les autres théâtres m'ont fait des offres, avec promesses de primes payées d'avance. Tout cela est bien joli. Mais j'ai tout refusé pour attendre que Bocage, qui est destitué arbitrairement, persécuté injustement, et que la réaction voudrait ruiner, ait acquis la direction d'un autre théâtre (non subventionné) ou qu'il remonte sur les planches comme artiste, et qu'il puisse, avec mes pièces, dicter pour lui des conditions honorables et avantageuses. Cela me laisse sans profit pour le moment. Mais peut-on, dans cette société-ci, respecter la délicatesse des sentiments et faire des affaires! Non. Les honnêtes gens sont condamnés

Y songez-vous, mes frères?... répondit Gabriel; dans cette église... un lieu sacré... un lieu de refuge... pour tout ce qui est persécuté!... Nous empoignerons notre empoisonneur jusque sur l'autel, répondit brutalement le carrier; ainsi, rendez-le-nous. Mes frères, écoutez-moi... dit Gabriel en tendant les bras vers lui.

Je ne m'étonne plus si vous dites qu'il faut haïr sa chair, que l'on doit avoir horreur de soi-même, et que l'homme, dans son état actuel, doit être maudit, calomnié, persécuté; non, je n'en suis plus surpris. En vérité, il n'y a aucune sorte de maux et de malheurs qui ne doivent tomber sur lui

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