Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 5 juin 2025
M. Certain de l'Isle, second frère de ma mère, était un des plus beaux hommes de France. La Révolution le trouva lieutenant au régiment de Penthièvre, où servaient son frère aîné et plusieurs de ses oncles. Il suivit l'impulsion de presque tous ses camarades et émigra en compagnie de son plus jeune frère, M. Certain de la Coste, qui servait dans les gardes du corps du Roi. Depuis leur sortie de France, les deux frères ne se quittèrent plus. Ils se retirèrent d'abord dans le pays de Bade, mais leur tranquillité fut bientôt troublée: les armées françaises passèrent le Rhin, et comme tout émigré qui tombait en leur pouvoir était fusillé, en vertu des décrets de la Convention, force fut
Le respectable instituteur ne s'occupe plus, dès lors, que d'assurer le sort de son protégé. Il se présente au duc de Penthièvre, l'aïeul du roi Louis-Philippe, avec un placet, où il lui rappelle que M. le comte de Solar, père du jeune sourd-muet, a été page de la duchesse du Maine, gentilhomme de M. le prince de Dombes, puis de M. le comte d'Eu, et que le grand-père de cet enfant a été gentilhomme de M. le duc du Maine. A ce placet se trouvent jointes toutes les pièces qu'il a pu réunir en sa faveur. Le solliciteur est accueilli avec les plus bienveillantes démonstrations d'intérêt et de sympathie. Le prince lui promet que les pièces seront scrupuleusement examinées dans son conseil et qu'une réponse lui sera faite sous quinzaine. Son Altesse tient parole. Voici la lettre en date du 8 novembre 1777 qu'elle lui fait écrire par M. l'abbé Lenoir, chef de son conseil et conseiller de la grand'chambre: «Monseigneur le duc de Penthièvre, Monsieur, a accordé une pension de 800 livres
En 1769, il avait épousé mademoiselle de Penthièvre. Elle était bonne, blanche, fraîche, douce, pure; elle lui plut tant qu'elle fut pour lui une femme nouvelle. Les filles un peu brillantes de Paris purent quitter, au bout de quelques jours, le costume de veuve avec lequel elles s'étaient plu
L'excellent duc de Penthièvre habita Bizi. Les fraisiers des bois portent témoignage de sa candeur et de sa bonté. Car le duc écrivait en 1777
Quand il leva les yeux, il se trouvait vers le milieu du faubourg Saint-Honoré. Un de ses frères, Eugène Rougon, habitait une rue voisine, la rue de Penthièvre.
La comtesse Sabine, comme on avait pris l'habitude de nommer madame Muffat de Beuville, pour la distinguer de la mère du comte, morte l'année précédente, recevait tous les mardis, dans son hôtel de la rue Miromesnil, au coin de la rue de Penthièvre.
Marie-Thérèse-Louise de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe, était la fille du prince Victor de Savoie-Carignan. Née en 1749, elle épousa en 1767 le prince de Lamballe, fils du duc de Penthièvre. Demeurée veuve l'année suivante, elle passa une partie de sa vie auprès de la reine, qui la nomma surintendante de sa maison. Arrêtée après le 10 Août, elle fut massacrée le 2 septembre.
M. Lugarto, néanmoins, ne se déconcerta pas; il reprit avec une imperturbable assurance: Je ne connaissais pas cette histoire du duc de Penthièvre; elle est fort jolie, mais elle ne me convertit pas. Je préfère ne pas passer pour un niais aux yeux des artistes et ne pas me donner la peine de faire de la délicatesse avec eux. Mais j'y pense, j'ai justement une vue de Naples, de Bonnington, qui ferait
«Lorsque le duc d'Orléans épousa en 1769 la fille du duc de Penthièvre,
M. et madame Suzanne me menèrent voir aussi le château et le parc de Sceaux. Une chose qui prouvait la bonté du maître de ce magnifique séjour, c'est que le parc de Sceaux était une promenade publique; l'excellent duc de Penthièvre avait toujours voulu que tout le monde y entrât, et les dimanches principalement ce parc était très fréquenté.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche