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Mis à jour: 1 octobre 2025
Et son camarade Amaury, dit le Corinthien, ne pénètre-t-il pas assez intimement dans les bonnes grâces de la marquise Joséphine, pour que certaine calèche, durant la nuit, leur rende le même office hospitalier que le fiacre de Madame Bovary? Cela était impardonnable, au gré des lecteurs bien pensants.
Celle devant qui vingt-huit millions d'être vivants et pensants plient le genou et la tête, allons donc! Monsieur, on la calomnie. Qu'en savez-vous? Je veux le croire. Vous pensez que c'est votre droit? Sans doute. Eh bien! mon droit,
Et puis, M. Taine est tendre. Ne vous récriez pas. Les quatre millions d'hommes tués, et la somme de douleurs humaines que cela suppose, le découragent d'admirer le grand empereur. Ce qui arrive ici est assez singulier. Ce sont les spiritualistes, les idéalistes, les gens bien pensants et les plus belles âmes du monde qui nous disent: Napoléon fut un monstre? Qu'importe, puisqu'il a fait la France glorieuse! (entendez: puisque nous lui devons de pouvoir dire aux Allemands: «Vous avez été atroces, mais nous l'avons été encore plus il y a quatre-vingts ans, et cela nous console»). Et c'est M. Taine, le philosophe «matérialiste», celui qui a écrit que le vice et la vertu étaient des produits comme le sucre et le vitriol, c'est lui qui réprouve, de quelque éclat qu'elles soient revêtues, l'injustice et la violence! C'est lui, l'homme qui considère l'histoire comme un développement nécessaire de faits inévitables et qui a toujours goûté en artiste les manifestations de la force, c'est lui qui aujourd'hui se fond en pitié! Nul n'a peint de couleurs plus brillantes le déroulement immoral de l'histoire, et voil
Les «humbles» et les «misérables» sympathiques des romans septentrionaux gardent tous des restes au moins et des habitudes de foi confessionnelle; et l'on sent que l'auteur leur sait gré d'être, au fond, «bien pensants». Les misérables et les humbles de nos romans sont généralement moins religieux; ils n'ont souvent, comme l'héroïque Dussardier, d'autre religion que le culte ingénument philosophique de la justice absolue. Je me refuse d'ailleurs
Qu'est-ce donc qui m'empêche, ô terre complaisante, Doux éther caressant, sourire bleu des flots, Nature sans mémoire et toujours renaissante, De rentrer dans votre ample et sinueux complot? Ma jeunesse est en vous, les arbres, le rivage, Le temps qui se balance et ne s'écoule pas, Les matins toujours gais, les soirs pensants et sages Ont gardé mes regards, mes rêves et mes pas;
Il ne s'agissait de rien moins que d'égorger les personnages importants de la ville, connus pour tenir en faveur du roi, de parcourir les rues en criant: Vive la messe! mort aux politiques! et d'allumer ainsi une Saint-Barthélemy nouvelle avec les vieux débris de l'ancienne; seulement, dans celle-ci, on confondait les catholiques mal pensants avec les huguenots de toute espèce.
Les quelques personnes demeurées fidèles au magasin ultramontain y tenaient encore parfois de tristes colloques. C'était le seul endroit où l'on se retrouvât entre gens «bien pensants», où l'on se sentît
Et il y a les santés de quelques génies, des poètes, des artistes supérieurs qui sont la parure, la gerbe dorée, les lauriers vivants et pensants d'un pays, et de l'humanité...
«La foi religieuse pourrait être le meilleur préservatif contre ces «maladies» de l'âme, et le plus puissant moyen pour les guérir, si elle était assez vivante pour créer, chez ses adeptes, un vrai stoïcisme chrétien. Dans cet état d'âme, hélas! si rare, dans les milieux bien pensants, l'homme devient invulnérable; se sentant soutenu par son Dieu, il ne craint ni la «maladie» ni la mort. Il peut succomber sous les coups d'une «maladie» physique, mais, moralement, il reste debout au milieu de sa souffrance, il est inaccessible aux émotions pusillanimes des névrosés.» Et, plus loin,
Mon conducteur n'était pas de ceux qu'on interroge et dont on quête les racontars. C'était un de ces non pensants qui répugnent
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