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Mis à jour: 27 mai 2025
L'unité du principe de l'être ou de l'Être existant par lui-même implique rigoureusement, c'est en vain qu'on feindrait de le méconnaître, l'identité de tout être dans son principe, thèse fondamentale du panthéisme. Ainsi nous acceptons le panthéisme dès l'entrée. Le panthéisme devient notre prémisse. Nous n'aurons plus
La philosophie idéaliste où le criticisme vient aboutir, est comme un tourbillon formé par des vents opposés. Elle était nécessairement obscure, cette philosophie, parce qu'elle était équivoque; elle pouvait se développer dans plusieurs directions contraires. Toutes ces directions devaient être suivies, toutes les possibilités devaient se manifester. Le trait dominant de la philosophie dont nous parlons est le panthéisme. Le sujet et l'objet, l'homme qui pense et la vérité, n'avaient été jetés par Kant
L'Olympe reparaîtra, dans la Légende des siècles, pour figurer l'époque de la Renaissance, et exprimer l'un des aspects de ce seizième siècle, Janus au double visage, attaché au passé et avide de l'avenir. Le paganisme de la pièce du Satyre est tout animé de sentiments modernes. Dans le chant qu'il entonne pour divertir les olympiens, le sylvain, empêtré de fange, qu'Hercule a saisi par l'oreille, et amené aux pieds de Jupiter, s'enivre d'une sorte de panthéisme plus poétique encore que philosophique, et, après avoir tracé
Elle n'était pas, comme pour nous, l'élégie de la Nature, ce pays romanesque, cette patrie de rêverie, teinte du panthéisme d'un dimanche de bourgeois. Elle était un repos, un déliement des affaires, une excuse de paresse, l'endroit où la conversation échappait aux choses de la vie et de la ville, où la pensée prenait sa récréation. La campagne était le salon d'été de l'âme d'Horace. 28 octobre.
Déisme ou panthéisme, double projection de l'âme humaine agrandie, planante au-dessus du monde pour le gouverner, ou immanente au monde même pour en développer lentement les formes, ces deux conceptions de Dieu ne sont pas neuves; elles sont écloses d'elles-mêmes dans l'esprit des premiers hommes qui ont su penser; et les derniers venus, même quand ils s'appelaient Descartes, Spinoza et Kant, sont demeurés emprisonnés entre elles deux. Tout ce qu'on a pu faire, ç'a été, tantôt d'aller de l'une
Tout perfectionné qu'il est, ce dualisme ne nous a pas semblé suffisant, et nous venons de le corriger. Comment cela, Messieurs? Il le faut confesser: par le panthéisme. Le point de vue que nous venons de lui substituer est, dans une sphère plus haute, parallèle au panthéisme des Indiens. Pour l'Inde aussi, le monde naît d'un abaissement de Dieu. Bouddha se dépouille lui-même de sa divinité afin de donner une place aux choses particulières. Le Dieu que nous avons essayé de définir est la substance identique des puissances dont le jeu produit le Monde; il forme l'unité, le lien des puissances; il est le même, au fond, dans toutes les puissances. S'il peut se réaliser comme existence (B), c'est qu'il peut le vouloir, c'est que sa divinité essentielle n'est pas compromise par cette réalisation dans une forme opposée
On sait qu'il y a toujours eu grande sympathie et nombreux rapprochements entre le bouddhisme et le sivaïsme, sans doute parce que ce dernier était très rationnaliste et presque monothéiste, tandis que le vishnouvisme représentait le panthéisme et l'idolâtrie. Le sivaïsme est resté longtemps la religion professionnelle des Brahmes lettrés.
Les diverses combinaisons abstraites ne font que {p.284} substituer aux mystères chrétiens des mystères encore plus incompréhensibles: le panthéisme, qui, d'ailleurs, est de trois ou quatre espèces, et qu'il est de mode aujourd'hui d'attribuer aux intelligences éclairées, est la plus absurde des rêveries de l'Orient, remise en lumière par Spinosa: il suffit de lire
Les doctrines de Bichr paraissent, d'après le bref compte rendu de Chahrastani, moins solides et moins hautes que celles des précédents docteurs. Avec Mamar fils d'Ibâd es-Solami, la doctrine motazélite acquiert une hardiesse singulière et s'avance vers le panthéisme.
Tout péché est une expression, une forme de cette idée. Telle est, au point de vue métaphysique, la formule du problème. Il s'en déduit deux vérités, que le christianisme oppose, l'une au panthéisme, l'autre au matérialisme. L'une de ces vérités défend l'individu contre le panthéisme; car l'individu se compte avec Dieu même, et, n'y eût-il pour toute créature, pour tout monde, qu'un individu humain, il obtiendrait le regard de Dieu et le fixerait, aussi bien que doit le fixer,
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