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Mis à jour: 11 juillet 2025
Ce n'est pas une transformation morale radicale, rapide et s'effectuant simultanément chez toutes les nations, qui forme le but et la prémisse de notre doctrine et la condition de la phase future de l'humanité: c'est d'abord une ascension et une extension imperceptibles de la puissance spirituelle dominante, puissance d'union et de cohésion; c'est ensuite le brusque réveil et la lente amplification de l'appel et de l'accord de l'âme qui finiront un jour par faire résonner les vases même les moins harmonieux. Le premier son est émis; il est encore très faible; mais il ne s'éteindra plus jamais; il sera repris par des voix hésitantes, et déj
Il était de cette école ingénieuse et naïve qui prit pour devise, dès le VIIe siècle, cet aphorisme développé en 1653 par un de ses adeptes: «C'est offenser Dieu que mépriser les fleurs.» Prémisse dont l'école tulipière, la plus exclusive des écoles, fit en 1653 le syllogisme suivant: «C'est offenser Dieu que mépriser les fleurs. «Plus la fleur est belle, plus en la méprisant on offense Dieu.
Ces deux degrés posés, Descartes ne s'arrête pas dans sa marche ascendante. Il s'avance, au contraire, fort résolument du côté de la vérité positive que nous revendiquons, et franchissant, sans les apercevoir, les siècles qui vont le suivre, il esquisse, par quelques traits seulement, mais par quelques traits lumineux, toute une philosophie de liberté. Mais la prémisse sur laquelle il la fait reposer n'est pas justifiée avec assez de précaution; tous les intermédiaires requis pour rendre la vérité de cette prémisse manifeste et son emploi légitime, n'ont pas été traversés ou, du moins, n'ont pas été clairement indiqués. Celle-ci se présente dès lors avec l'apparence d'une hypothèse ou d'un emprunt fait
«Toute vie bien ordonnée est un acte logique, où chaque fait est la conclusion d'un raisonnement et la prémisse d'un autre. Les actions, dans une vie ordinaire, les ouvrages, dans une vie d'artiste ou d'écrivain, ne s'ajoutent pas seulement les uns aux autres, mais s'engendrent les uns les autres. Le vrai progrès consiste
L'unité du principe de l'être ou de l'Être existant par lui-même implique rigoureusement, c'est en vain qu'on feindrait de le méconnaître, l'identité de tout être dans son principe, thèse fondamentale du panthéisme. Ainsi nous acceptons le panthéisme dès l'entrée. Le panthéisme devient notre prémisse. Nous n'aurons plus
Cette prémisse de la simple religion comme de la pensée spéculative est exprimée dans le mot toujours nouveau de Jean le Théologien: Dieu est amour.
Richard de Saint-Victor a essayé une déduction de la trinité de Dieu fort différente de celle-ci, mais qui présente le même caractère de nécessité logique, la prémisse une fois admise, comme elle peut l'être, par la raison et par la conscience indépendamment de toute autorité.
On peut rendre plus saisissable l'évidence sur laquelle nous nous fondons, en empruntant la forme consacrée de l'argument ontologique. Ce syllogisme concluait ainsi: «L'idée de Dieu est celle de l'être parfait; or la perfection implique l'existence réelle: donc l'idée de Dieu implique l'existence réelle de son objet.» Nous tournons la prémisse du raisonnement au profit de la liberté et nous disons: «L'idée de Dieu est celle de l'être parfait; mais un être parfait de sa nature le serait moins que celui qui se donnerait librement la même perfection; l'idée d'un être parfait de sa nature est donc une idée abstraite et contradictoire; l'être parfait de sa nature serait encore imparfait; l'être parfait est celui qui se donne lui-même la perfection qu'il possède, c'est-
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