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Mis à jour: 27 mai 2025
On rapprochera utilement des pages de Taine les observations sur l'éducation en Amérique récemment consignées par M. Paul Bourget dans son beau livre Outre-Mer. Après avoir constaté lui aussi que notre éducation ne fait que des bourgeois bornés sans initiative et sans volonté ou des anarchistes, «ces deux types également funestes du civilisé qui avorte dans la platitude impuissante ou dans l'insanité destructrice» l'auteur fait une comparaison qu'on ne saurait trop méditer entre nos lycées français, ces usines
Mais le poëte s'écrie que le serment est violé, que les femmes se mettent tant de blanc et de vermillon sur le visage, que jamais on n'en vit plus aux ex voto. Il nomme une quantité de drogues dont elles se servent, la plupart inconnues aujourd'hui. «Elles mêlent, dit-il, avec du vif-argent du cafera, du tifrigon, de l'angelot, du berruis, et s'en peignent sans mesure. Elles mêlent avec du lait de jument, des fèves, nourriture des anciens moines et la seule chose qu'ils demandent, par droit ou par charité, de sorte qu'il ne leur en reste plus rien . Elles ont encore fait pis que tout cela; elles ont amassé provision de safran, et l'ont fait tellement enchérir qu'on s'en plaint outre-mer: mieux vaudrait-il qu'on le mangeât en ragoûts et en sauces que de le perdre ainsi. Il conviendrait du moins qu'elles prissent les étendards et les armes des croisés pour aller chercher outre-mer le safran qu'elles ont tant d'envie d'avoir». On voit par l
les couleurs, mais surtout les nuances: les tristes, ces fleurs décolorées par l'excès des soleils; les joyeuses, ardeurs dont la gamme s'irise; les blancs trempés un peu de chair ou de vermeil, les outre-mer, ces rêves, et les glauques divins dont on faisait les yeux moqueurs des immortels. Oh! les piquants bitumes sous des yeux libertins! oh! les piquants cinabres sur des joues de déesses!
On se racontait aussi que son aïeule, la douairière, lui avait laissé près de trois millions de florins en titres de rente. Il n'en fallait pas davantage pour que la positive Claudie jugeât Kehlmark un épouseur, un mâle très sortable. Peut-être, s'il n'avait pas été riche et titré, l'eût-elle préféré un peu plus membru et sanguin. Mais elle ne se lassait pas d'admirer son élégance, ses traits aristocratiques, ses mains de demoiselle, ses beaux yeux outre-mer, sa fine moustache, et sa barbiche soigneusement taillée. Ce que le Dykgrave présentait d'un peu réservé ou d'un peu timide, de presque langoureux et mélancolique par moments, n'était pas fait pour déplaire
Comment Jason prit son essor Outre-mer vers la toison d'or, Et fut chose moult merveilleuse Aux regardants et moult peureuse. Jason, qui premier la passa, Quand les navires compassa, Allant la toison d'or conquerre.
Cette année, pour la première fois, les contingents fournis par nos vieilles colonies, Antilles, Guyane, sont venus en France pour y faire leur service militaire, que jusqu'ici ils étaient censés effectuer dans leur pays natal. Ce fut tout un événement, outre-mer, où la vie est, par certains côtés, bien différente de la nôtre, où de meilleure heure, par exemple, les jeunes gens songent
J'en appelle au témoignage de M. Paul Bourget. Nous lisons dans son beau livre Outre-Mer: «Tous ceux qui ont étudié de près les jeunes Américains s'accordent
Le hollandais ne doit pas attendre une meilleure destinée, ni le portugais; mais ces deux langues pourraient, longtemps encore, évoluer, l'une en Afrique, l'autre au Brésil, où, malgré de singulières modifications, elles garderaient assez de leur figure primitive pour faire douter de leur disparition réelle. Quoique plus vigoureux, mais aussi dénué de force expansive, l'espagnol subirait le même sort et son histoire se continuerait outre-mer,
Après l'explosion de la machine infernale, un sénatus-consulte du 4 janvier 1801 prononça sans jugement, par simple mesure de police, l'exil outre-mer de cent trente républicains : embarqués sur la frégate la Chiffonne et sur la corvette la Flèche, ils furent conduits aux îles Seychelles et dispersés peu après dans l'archipel des Comores, entre l'Afrique et Madagascar: ils y moururent presque tous. Deux des déportés, Lefranc et Saunois, parvenus
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