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Mis à jour: 4 juillet 2025


En sortant de chez madame R..., nous passâmes chez Barras; nous y trouvâmes M. de Talleyrand, madame de Staël, Bernadotte, une foule de généraux; mais le directeur n'était pas dans son salon; on nous dit qu'il venait de passer dans son cabinet avec madame Tallien. Une heure après nous les vîmes sortir; un bras du directeur était passé autour de la taille de madame Tallien, qui entra ainsi jusqu'au milieu du salon. Mon père fut tellement indigné de cet oubli de toutes les bienséances qu'il m'engagea

«J'ai reçu l'autre jour, aimable amie, votre lettre du 11, qui me désole, parce que vous êtes vous-même désolée. Mais vraiment vous n'êtes pas juste dans vos reproches sur mon indifférence prétendue, sur un oubli qui est si loin de mon coeur, sur tous les sacrifices que l'amitié fait

Vous avez deviné, je ne pars pas pour la Suisse, mon infante m'a quitté, ne me trouvant pas assez rigolo pour devenir l'ordonnateur de ses menus-plaisirs. J'ai peur pour l'avenir de cet objet; dans la galanterie, il faut savoir s'ennuyer pour réussir... Mais laissons cet être inférieur en l'éternel oubli, et ne soyons plus que vous et moi dans l'univers.

Le songe est envolé; le masque bigarré et le bruyant tumulte ne sont plus. Sois le bienvenu dans cette couche silencieuse, le profond oubli succède au fracas de la vie, et les passions dévorantes n'usent plus le cœur .» [Note 85: Nous jugeons

Alors j'oubliai un peu mon chagrin pour écouter ses paroles enchanteresses. J'éprouvai une joie extrême, lorsque, par bonté sans doute, elle me rappela les amusements de notre naïve enfance, le beau jardin, les papillons, le pont sur l'étang, et même les petites figurines de bois qu'elle avait reçues de moi avec tant de plaisir. Je m'abîmais avec un oubli complet du présent dans le souvenir de ces temps bénis, et il me paraissait que le visage angélique de la petite Rose me souriait encore sous les traits plus sérieux de mademoiselle Pavelyn. C'était bien encore la même voix argentine, avec plus de sonorité et une plus grande richesse d'accent, toutefois; mais toujours tendre et amicale, me semblait-il. Un nouvel espoir commença

Elle frissonna, voulut savoir. Tu as des chagrins, il faut me les dire. Non, non, pas des chagrins, des choses qui n'existent pas, des tristesses qui me rendent horriblement malheureux, sans qu'il soit même possible d'en causer. Tous deux s'étreignirent, confondirent l'affreuse mélancolie de leur peine. C'était une infinie souffrance, sans oubli possible, sans pardon.

Il exhala, renversé, ce mot stupide comme le dernier souffle de sa poitrine. A genoux, il serrait Léa dans ses bras, et lui offrait son front ombragé de cheveux, sa tremblante bouche mouillée de larmes, et ses yeux d'où la joie coulait en pleurs lumineux. Elle le contempla si profondément, avec un oubli si parfait de tout ce qui n'était pas lui, qu'elle ne songea pas

Le grand-maréchal et le général Drouot, seuls grands personnages auprès de l'empereur. Destinée connue de Sa Majesté. Les commissaires des alliés. Demande et répugnance de l'empereur. Préférence pour le commissaire anglais. Vie silencieuse dans le palais. L'empereur plus calme. Mot de Sa Majesté. La veille du départ et jour de désespoir. Fatalité des cent mille francs que m'avait donnés l'empereur. Question inattendue et inexplicable de M. le grand-maréchal. Ce que j'aurais faire. Inconcevable oubli de l'empereur. Les cent mille francs déterrés. Terreur d'avoir été volé. Affreux désespoir. Erreur de lieu et le trésor retrouvé. Prompte restitution. Horreur de ma situation. Je quitte le palais. Mission de M. Hubert auprès de moi. Offre de trois cent mille francs pour accompagner l'empereur. Ma tête est perdue et crainte d'agir par intérêt. Cruelles réflexions. Tortures inouïes. L'empereur est parti. Situation sans exemple. Douleurs physiques et souffrances morales. Complète solitude de ma vie. Visite d'un ami. Fausse interprétation de ma conduite dans un journal. M. de Turenne accusé

Au siecle fu bien adirez Et vileinnement ostelez; Meis Diex n'ou mist pas en oubli, Cui on trueve au besoing ami; Car ce que pour lui soufert ha, Mout très bien li guerredonna: A lui dedenz la prison vint, Et son veissel porta, qu'il tint, Qui grant clarté seur lui gita, Si que la chantre enlumina; Et quant Joseph la clarté vist, En son cuer mout s'en esjoïst.

Pour me secouer je pars de nouveau entendre la neuvième Symphonie, mais sans lettre de mon amie ce matin. D'où vient cet oubli? est-ce que la pauvre chérie serait gelée par ce frisquet printemps? ou bien est-ce parce que je ne lui ai écrit qu'un mot? ou bien ma poche ne l'a-t-elle plus tentée? ou bien quoi? Ne m'en veuillez pas de mon silence. Allons, un bon mouvement, écrivez-moi.

Mot du Jour

betlem

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