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Mis à jour: 16 octobre 2025
La veille du jour où le baron de Corthuy devait quitter Rhodes, le grand maître Orsini lui donna un magnifique festin. Aucun hôte, quelqu'eût été son rang, n'eût pu être traité avec plus d'éclat et de distinction. La table, dressée sous les voûtes de la grande salle du palais, était fort longue; cependant quatre convives seulement y prirent place, outre le grand maître. Il était assis au centre, avec le chevalier brugeois
Tel était l'état des choses quand Jean-Baptiste Orsini ou des Ursins, grand maître lorsqu'Anselme Adorne aborda
Continuez-vous? demanda ser Vespasiano, le vieux notaire de la chancellerie, lorsque Pippo n'eut plus d'argent. Non, répondit celui-ci, je ne veux plus jouer sur parole. Mais je vous prêterai ce que vous voudrez, s'écria la comtesse Orsini. Et moi aussi, dit ser Vespasiano.
De ces fenêtres grillées partirait un feu bien nourri dès que l'alarme serait donnée. L'abbesse régnante, femme de tête, avait peur des exploits des chefs Orsini, du prince Colonna, de Marco Sciarra et de tant d'autres qui régnaient en cents hommes déterminés, occupant
Rome fut surtout curieuse de ce qui se passerait pendant la visite que devait lui faire le prince Paolo Giordano Orsini, duc de Bracciano, auquel le bruit attribuait la mort de Félix Peretti. Le vulgaire pensait que le cardinal Montalto ne pourrait se trouver si rapproché du prince, et lui parler en tête-
Les chevaliers de Saint-Jean. L'île de Rhodes. Les Hospitaliers. Guillaume et Foulques de Villaret. Jean-Baptiste Orsini. Fausse alerte. L'ambassade persane. Description de la ville de Rhodes. Les prêtres grecs. Festin donné par le grand maître. Cercle de cinquante chevaliers.
Mais Laurent de Médicis emporta en mourant les rêves du penseur laïque et les espérances du Pape. C'était un brave soldat, sinon un capitaine. Il passait, comme sa mère, Alfonsina Orsini, pour orgueilleux et autoritaire; il s'isolait de ses concitoyens, et Léon X l'avait, dit-on, sévèrement repris de les regarder comme des sujets.
Ceci est effrayant. Pas en arrière. Démenti au progrès. Babeuf, Aréna, Ceracchi, Topino-Lebrun, Georges Cadoudal, Mallet, Lahorie, Guidal, Ney, Labédoyère, Didier, les frères Faucher, Pleignier, Carbonneau, Tolleron, les quatre sergents de la Rochelle, Alibaud, Cirasse, Charlet, Cuisinier, Orsini, reparaissent. Rentrée des spectres.
Les Garibaldiens passèrent donc cette première nuit comme ils purent, les uns dans les églises métamorphosées pour l'instant en casernes de passage, les autres dans les maisons; beaucoup restèrent dans les rues. Sous le beau ciel de la Sicile, ce n'étaient pas les plus mal partagés. Le matin du 12, vers trois heures, les premiers éveillés parmi les habitants purent les voir capeler leurs petites sacoches, essuyer leurs fusils, ternis par l'humidité qui, même dans les plus beaux jours, règne sur le littoral de la mer, puis s'acheminer vers la porte de Calatafimi où les compagnies se reformèrent, attendant l'ordre du départ. A quatre heures, le mouvement commençait, et les érudits de la bande pouvaient s'écrier comme César: Alea jacta est! Les colonels Bixio, Orsini, Türr, Carini, etc., marchaient en tête de leurs régiments ou plutôt de leurs petits bataillons. L'artillerie se composait de deux ou trois pièces assez mal outillées, encore plus mal attelées; les munitions étaient rares, presque nulles. Quant
Tenez, notre roi, par exemple; eh bien, il ressemble au cousin de la reine-mère, qui est venu en France avec elle, au duc de Bracciano; vous le rappelez-vous ce Virginio Orsini? Monsieur, de son côté, ressemble au maréchal d'Ancre comme une goutte d'eau
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