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Mis à jour: 25 juin 2025
Le 17, au soir, une partie de la colonne de gauche du général Bosco marchait en dépendant sur sa gauche, lorsque ses vedettes rencontrèrent celles de Medici, et engagèrent un feu très-vif. Chaque parti faisant soutenir ses avant-gardes, il s'ensuivit un combat en règle. L'affaire continua assez tard dans la nuit. Les troupes de Bosco se retirèrent vers Milazzo, emmenant quelques prisonniers, dont un capitaine, et laissant sur le terrain pas mal de morts et de blessés. De leur côté, les Garibaldiens avaient fait aussi un assez grand nombre de prisonniers, et ils avaient moins de monde hors de combat. C'est
Le général Lanza, qui commande les troupes du palais, voyant ce couvent pris par les Garibaldiens, fait tirer dessus
On devait donc prévoir une première et sérieuse affaire pour le lendemain. De ce combat allait dépendre sans doute tout le succès de cette aventureuse expédition. Pour les Napolitains, la défaite, c'était le désarroi, le découragement et la désertion. Pour les Garibaldiens, la victoire, c'était presque la certitude du succès dans tout le reste de la Sicile. Mais aussi pour eux, la défaite, c'était le danger d'une fuite dans les montagnes, autant dire la mort! Aussi, dans la petite armée de Garibaldi, n'y avait-il qu'une devise: «Vaincre ou mourir.» Les picchiotti seuls n'étaient pas aussi décidés, et ils songeaient sans doute
Un nouveau repos de quelques minutes était devenu nécessaire; six compagnies qui n'avaient pas encore été engagées furent formées en deux colonnes d'attaque, et se lancèrent résolûment sur la troisième position. L'armée royale tint un instant; mais, débordée par les tirailleurs garibaldiens et attaquée par le bataillon de chasseurs génois qu'entraîne intrépidement son commandant Menotti, elle se met en pleine retraite, cherchant
Pendant que les Garibaldiens se casernaient de leur mieux et partout où ils pouvaient, l'armée royale, entassée vis-
Les Garibaldiens passèrent donc cette première nuit comme ils purent, les uns dans les églises métamorphosées pour l'instant en casernes de passage, les autres dans les maisons; beaucoup restèrent dans les rues. Sous le beau ciel de la Sicile, ce n'étaient pas les plus mal partagés. Le matin du 12, vers trois heures, les premiers éveillés parmi les habitants purent les voir capeler leurs petites sacoches, essuyer leurs fusils, ternis par l'humidité qui, même dans les plus beaux jours, règne sur le littoral de la mer, puis s'acheminer vers la porte de Calatafimi où les compagnies se reformèrent, attendant l'ordre du départ. A quatre heures, le mouvement commençait, et les érudits de la bande pouvaient s'écrier comme César: Alea jacta est! Les colonels Bixio, Orsini, Türr, Carini, etc., marchaient en tête de leurs régiments ou plutôt de leurs petits bataillons. L'artillerie se composait de deux ou trois pièces assez mal outillées, encore plus mal attelées; les munitions étaient rares, presque nulles. Quant
De leur côté, les Garibaldiens prenaient les armes; la générale battait partout, et on armait précipitamment trois batteries disposées
Un chemin couvert, longeant cette plage, reliait les deux forteresses et chaque nuit deux ou trois bataillons y restaient de service en prévision d'un débarquement de Garibaldiens.
Le 20, vers cinq heures du matin, on entendit sur la droite des Garibaldiens,
Pendant que les Garibaldiens bousculaient devant eux les troupes royales, s'apprêtant
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