Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 22 juillet 2025


Vous êtes Français, lui dis-je, cela s'entend; mais dans quelle partie de la France êtes-vous ? Je n'en sais rien, me répondit-il. Quoi! vous ignorez l'endroit de votre naissance? Absolument. Et vos parents? Je ne les ai jamais connus. Vous êtes orphelin? Je l'ignore. Comment cela? Je suis un enfant perdu. Alors le nom que vous portez? Est celui d'un brave homme qui a pris soin de mon enfance.

D'autre part, il est tout simple: Je suis venu, calme orphelin, Riche de mes seuls yeux tranquilles, Vers les hommes des grandes villes: Ils ne m'ont pas trouvé malin.

Tous les jours j'étais traité de la même manière que le premier jour. Quel changement dans ma position!... Comme je me trouvais heureux de coucher dans un bon lit! Ce pauvre orphelin ne couchait plus sur la paille. Enfin tous les soirs, j'avais

Ainsi, pour celui qui, plongé en naissant dans un foyer de dépravation domestique, est vicié tout jeune encore, aucun espoir de guérison! «Si! si! moi je le guérirai, cet orphelin que j'ai fait, répond la société, mais en temps et lieu... mais

J'étais donc orphelin, sans fortune, sans asile. Mon père, en se donnant beaucoup de peine, gagnait bien juste de quoi subvenir aux dépenses de la famille, et, malgré son rude travail, ne laissait pas la moindre épargne. Que serait devenue ma mère? Combien de fois, au milieu des regrets que je donnais

On l'appelait dans le monde: le «beau SignolesIl se nommait le vicomte Gontran-Joseph de Signoles. Orphelin et maître d'une fortune suffisante, il faisait figure, comme on dit. Il avait de la tournure et de l'allure, assez de parole pour faire croire

Je me souviens de la première apparition de cette aimable poupée dans la maison de Paul, je remplissais d'abord le rôle assez ingrat de précepteur, devenu plus tard un compagnon et un ami. Ai-je dit que Paul, orphelin lui-même, habitait chez une cousine éloignée

Mauvaise! reprit le poète. N'importe, vous ne m'irriterez pas. Tenez, vous m'aimerez peut-être en me connaissant mieux; et puis vous m'avez conté votre histoire avec tant de confiance que je vous dois un peu la mienne. Vous saurez donc que je m'appelle Pierre Gringoire, et que je suis fils du fermier du tabellionage de Gonesse. Mon père a été pendu par les Bourguignons et ma mère éventrée par les Picards, lors du siège de Paris, il y a vingt ans. À six ans donc, j'étais orphelin, n'ayant pour semelle

«Mais, reprit Mme Danglars essayant de tenter un dernier effort, vous dites que ce jeune homme est vagabond, orphelin, abandonné de tous? Tant pis, tant pis, ou plutôt tant mieux; la Providence l'a fait ainsi pour que personne n'eût

C'est que plus qu'aucun des jeunes ecclésiastiques qui vivent ici, dans ce séminaire, sous votre paisible et sage discipline, j'aurais besoin d'être continuellement sous vos regards... Pauvre orphelin que je suis... vous êtes mon très-honoré supérieur, vous seriez encore comme mon père, mon tuteur, mon ange gardien. Je réglerais tous mes pas sur les vôtres. Il faut que je vous dévoile mon âme tout entière. Sachez donc que je ne pourrais plus vivre loin de vous; ce sont vos seuls mérites qui ont décidé ma vocation. Permettez-moi donc de m'attacher

Mot du Jour

orneront

D'autres à la Recherche