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Mis à jour: 4 juin 2025


Par contre, lui dis-je, des niaiseries me firent des soirs sublimes. Une nuit, près de m'endormir, je fus frappé par cette idée, qui vous paraîtra fort ordinaire, que le Don, fleuve de Russie, était l'antique Tanaïs des légendes classiques. Et cette notion prit en moi un telle intensité, une beauté si mystérieuse qui je dus, ayant allumé, chercher dans la bibliothèque une carte je suivis ce fleuve dès sa sortie du lac, tout au travers du pays de Cosaques. Grandi par tant de siècles interposés, Orphée m'apparut errant

O peuple, que la foi, la vertu, la bravoure, Charment, quand ton Orphée, avec ses rimes d'or, Te prodigue l'ivresse adorable, savoure Cette ambroisie, et toi, poète, chante encor!

Dans ce Paris plein d'or et de misère, En l'an du Christ mil sept cent quatre-vingt, Chez un tailleur, mon pauvre vieux grand-père, Moi, nouveau , sachez ce qui m'advint: Rien ne prédit la gloire d'un Orphée À mon berceau qui n'était pas de fleurs; Mais mon grand-père, accourant

Et d'abord, au risque de se montrer irrévérencieux envers des héros exaltés par Orphée, Pindare, Hérodote, Apollonius de Rhodes et Valérius Flaccus, il faut reconnaître que Jason et ses compagnons ont été de véritables pirates. En effet, si l'on élague tous les merveilleux incidents, toutes les poétiques fictions dont l'imagination hellénique l'a parée, que reste-t-il de cette légende? Un fond traditionnel bien connu. Les Sidoniens, hardis navigateurs, avaient pousser de très bonne heure leurs explorations

Comme compensation on m'a demandé de monter l'Alceste, ainsi que j'avais monté Orphée au Théâtre-Lyrique, en m'offrant les droits d'auteur complets; pour des raisons musicales qu'il serait trop long de t'expliquer, j'ai refusé. On croit dans ce monde-l

Hoffmann la regarda s'éloigner comme Orphée dut regarder Eurydice fugitive; puis lorsque Antonia eut disparu, il ouvrit le médaillon. Le médaillon renfermait le portrait d'Antonia, tout resplendissant de jeunesse et de beauté.

Orphée est courbé sur le monde; L'éblouissant est ébloui; La création est profonde Et monstrueuse autour de lui; Les rochers, ces rudes hercules, Combattent dans les crépuscules L'ouragan, sinistre inconnu; La mer en pleurs dans la mêlée Tremble, et la vague échevelée Se cramponne

Sur le désir qu'elle exprima un jour d'aller voir Orphée aux enfers, Sainte-Beuve, jugeant du goût des autres par le sien, fit louer une loge au Théâtre-Lyrique, l'on représentait en ce moment l'opéra de Gluck. À la vue du coupon, sa Benjamine fit la moue et eut un mouvement de dépit: «Ce n'est pas ce que je voulais; je me moque bien de Gluck; on dit que c'est un éléphant qui chante. Je n'irai pas; c'est trop ennuyeuxToujours complaisant, Sainte-Beuve fit prendre le lendemain des billets aux Bouffes, l'on jouait l'opérette d'Offenbach. Du coup, il obtint un gracieux sourire et la promesse d'aller avec lui

Il me fallut, en cet endroit, me retourner, comme Orphée

/* Orphée avec son luth obligea les arbres Et les cimes des montagnes glacées À s'incliner lorsqu'il chantait. À ses accens, plantes et fleurs Ne cessaient d'éclore. Comme le soleil et les pluies, Il donnait aux lieux qu'il habitait un éternel printemps. Toutes choses, en écoutant ses accords, Les vagues de la mer elles-mêmes, Penchaient leur tête, et s'arrêtaient autour de lui, Tant est grand le pouvoir de la douce musique. Elle tue les soucis; et les chagrins du coeur Expirent, ou s'assoupissent

Mot du Jour

l'égaierait

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