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Mis à jour: 15 juin 2025


Et, après qu'ils eurent prié et répandu les orges, aussitôt, le noble Thrasymèdès, fils de Nestôr, frappa, et il trancha d'un coup de hache les muscles du cou; et les forces de la génisse furent rompues. Et les filles, les belles-filles et la vénérable épouse de Nestôr, Eurydikè, l'aînée des filles de Klyménos, hurlèrent toutes.

Le vent froid des hauteurs y souffle en ce moment, agitant les branches, les herbes folles, le velours des orges nouvelles. Et des milliers de coquelicots, d'anémones, le long des petits chemins ou sur les vieux murs, jettent leurs vives taches rouges.

Il parla ainsi en priant, et Phoibos Apollôn l'exauça. Et, après avoir prié et répandu les orges salées, renversant en arrière le cou des victimes, ils les égorgèrent et les écorchèrent. On coupa les cuisses, on les couvrit de graisse des deux côtés, et on posa sur elles les entrailles crues.

Les récoltes en tas s'y trouvaient alignées: Les froments par quintaux, les seigles par paniers, Les orges, de clarté poussiéreuse baignées, L'avoine et le colza par monceaux réguliers. Un silence profond et lourd, tel une mare, S'étendait sur les grains que coupait de sa barre Et de ses lames d'or le soleil de Juillet.

Lorsqu'on moissonne le seigle, elles passent dans les orges et les avoines; et quand on vient

Au grand soleil d'été qui fait les orges mûres, Et qui bronze vos chairs pesantes de santé. Flamandes, montrez-nous votre lourde beauté Débordante de force et chargeant vos ceintures. Sur des tas de foin sec et fauché, couchez-vous! Vos torses sont puissants, vos seins rouges de sève. Vos cheveux sont lissés comme un sable de grève, Et nos bras amoureux enlacent vos genoux.

Nous laissons cette route sur notre gauche, pour prendre, dans les orges vertes, les simples sentiers qui mènent

Il parla ainsi, et le Kroniôn accepta le sacrifice, mais il ne l'exauça pas, lui réservant de plus longues fatigues. Et, après qu'ils eurent prié et jeté les orges salées, ils renversèrent la tête du taureau; et, l'ayant égorgé et dépouillé, ils coupèrent les cuisses qu'ils couvrirent deux fois de graisse; et, posant par-dessus des morceaux sanglants, ils les rôtissaient avec des rameaux sans feuilles, et ils tenaient les entrailles sur le feu. Et quand les cuisses furent rôties et qu'ils eurent goûté aux entrailles, ils coupèrent le reste par morceaux qu'ils embrochèrent et firent rôtir avec soin, et ils retirèrent le tout. Et, après ce travail, ils préparèrent le repas, et aucun ne put se plaindre d'une part inégale. Puis, ayant assouvi la faim et la soif, le cavalier Gérennien Nestôr parla ainsi: Très glorieux roi des hommes, Atréide Agamemnôn, ne tardons pas plus longtemps

Ayant retraversé la longue plaine unie, les foins, les orges, les champs de pavots, nous rentrons au crépuscule dans les ruelles du hameau perdu, et enfin dans notre gîte de terre, sans portes ni fenêtres. Un vent vraiment très froid agite les peupliers du dehors et les abricotiers du jardinet sauvage; le jour meurt dans un admirable ciel bleu vert, s'effiloquent des petits nuages d'un rose de corail, et on entend des vocalises de bergers qui appellent

Ces Argiens ne tirent pas non plus; et il y a longtemps de ça; mais ils se rient de nos misères, et ils font leurs orges des deux côtés

Mot du Jour

l'égaierait

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