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Mis à jour: 4 mai 2025
Et tu ne voulus point, divin Ménélaos, venir en aide aux compagnons attristés d'Antilokhos, aux Pyliens qui le regrettaient. Et il leur laissa le divin Thrasymèdès, et il retourna auprès du héros Patroklos, et, parvenu jusqu'aux Aias, il leur dit: J'ai envoyé Antilokhos vers les nefs, afin de parler au Pèléiôn aux pieds rapides; mais je ne pense pas que le Pèlèiade vienne maintenant, bien que très irrité contre le divin Hektôr, car il ne peut combattre sans armes. Songeons, pour le mieux, de quelle façon nous entraînerons ce cadavre, et comment nous éviterons nous-mêmes la mort et la moire
Ayant ainsi parlé, ils se couvrirent de leurs lourdes armes. Thrasymèdès, ferme au combat, donna au Tydéide une épée
Et, après qu'ils eurent prié et répandu les orges, aussitôt, le noble Thrasymèdès, fils de Nestôr, frappa, et il trancha d'un coup de hache les muscles du cou; et les forces de la génisse furent rompues. Et les filles, les belles-filles et la vénérable épouse de Nestôr, Eurydikè, l'aînée des filles de Klyménos, hurlèrent toutes.
Il parla ainsi, et tous lui obéirent. La génisse vint de la campagne, et les compagnons du magnanime Tèlémakhos vinrent de la nef égale et rapide. Et l'ouvrier vint, portant dans ses mains les instruments de son art, l'enclume, le maillet et la tenaille, avec lesquels il travaillait l'or. Et Athènè vint aussi, pour jouir du sacrifice. Et le vieux cavalier Nestôr donna de l'or, et l'ouvrier le répandit et le fixa sur les cornes de la génisse, afin que la déesse se réjouît en voyant cet ornement. Stratios et le divin Ekhéphrôn amenèrent la génisse par les cornes, et Arètos apporta, de la chambre nuptiale, dans un bassin fleuri, de l'eau pour leurs mains, et une servante apporta les orges dans une corbeille. Et le brave Thrasymèdès se tenait prêt
Il parla ainsi, et tous, l'ayant écouté, obéirent. Et les gardes armées sortirent, conduites par le Nestoréide Thrasymèdès, prince des peuples, par Askalaphos et Ialménos, fils d'Arès, par Mèrionès, Apharèos et Dèipiros, et par le divin Lykomèdès, fils de Kréôn. Et les sept chefs des gardes conduisaient, chacun, cent jeunes guerriers armés de longues piques. Et ils se placèrent entre le fossé et la muraille, et ils allumèrent des feux et prirent leur repas. Et l'Atréide conduisit les chefs des Akhaiens sous sa tente et leur offrit un abondant repas. Et tous étendirent les mains vers les mets. Et, quand ils eurent assouvi la soif et la faim, le premier d'entre eux, le vieillard Nestôr, qui avait déj
Et les deux héros s'étant rencontrés, Patroklos frappa dans le ventre l'illustre Thrasymèdès qui conduisait le char du roi Sarpèdôn, et il le tua. Et Sarpèdôn s'élança; mais sa pique éclatante, s'étant égarée, blessa
Ayant ainsi parlé, il saisit dans sa tente le bouclier de son fils, le brave Thrasymèdès qui, lui-même, avait pris le bouclier éclatant d'airain de son père, et il saisit aussi une forte lance
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