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Mis à jour: 26 mai 2025
Ma Naissance. Je suivrai le conseil du satirique: Pour moi, j'aimerais mieux qu'il déclinât son nom, Et dît: «Je suis Oreste ou bien Agamemnon.» Je m'appelle Charles-Maurice Talleyrand-Périgord, et je suis né
Oh! monsieur, soyez prudent! soyez prudent! s'écria Scévola. Maurice ne répondit même pas; il s'élança hors de la chambre, descendit l'escalier comme s'il eût eu des ailes, et courut chez Lorin. Il serait difficile d'exprimer la stupéfaction, la colère, la rage du digne poète lorsqu'il apprit cette nouvelle; autant vaudrait recommencer les touchantes élégies que devait inspirer Oreste
Eh bien, grâce au laborieux Pylade qui travaillait pour deux, le paresseux Oreste se maintint toujours au premier rang; il eut autant de prix, autant de couronnes, autant de récompenses que San-Felice, et plus de mérite aux yeux de ses professeurs, qui ne savaient pas ou ne voulaient pas savoir le secret de sa supériorité; car cette supériorité, il la maintenait comme celle de sa position sociale, sans avoir l'air de se donner le moindre mal pour cela.
Un soir d'été que Pontis, compagnon fidèle, suivait dans le jardin son Oreste impatient, et que tous deux semblaient embarrassés comme il arrive quand on a tant de choses
Montbar et Adler, dont on ne connaissait pas plus les véritables noms que l'on ne connaissait ceux de d'Assas et de Morgan, étaient généralement appelés dans la compagnie les inséparables. Figurez-vous Damon et Pythias, Euryale et Nisus, Oreste et Pylade
Trois personnages dans Andromaque sont possédés de cet amour-maladie, criminel et meurtrier presque par définition: Hermione et Oreste, malades complets; Pyrrhus un peu moins fou, parce que l'objet de sa jalousie est un mort et qu'il ne peut donc plus le tuer. Et ces trois déments font d'autant mieux ressortir la beauté morale de la divine Andromaque, dont les deux amours le conjugal et le maternel sont purs, sages et «dans l'ordre»; le premier d'autant plus pur qu'il s'adresse
Racine, chrétien soumis, est un peintre et un psychologue sans peur. Et c'est fort heureux. Je l'aime mieux ainsi qu'esprit fort et peintre timide (comme Voltaire, si vous voulez). Sa conception du péché ne l'empêche pas de nous montrer des pécheresses, sans d'ailleurs les qualifier. Sa foi ne l'empêche pas de nous montrer un révolté comme Oreste ou un sceptique comme Acomat et, semble-t-il, de s'y complaire. Les sentiments défendus ou même les hardiesses de pensée, il les exprime aussi librement que s'il n'était pas chrétien, et d'autant plus librement qu'il ne les prend pas
Le Pylade de cet Oreste du pays Latin ne descendait pas des Croisés et même il ne sortait pas, comme on dit vulgairement, de la cuisse de Jupiter.
J'avais un ami, un vrai Pylade qui m'a surnommé son Oreste, pour m'avoir vue aux prises avec les Euménides, et pourtant je n'avais tué ni père ni mère. Il avait bien raison de ne me pas prendre au sérieux; car je me rêvais aussi méchante que les autres hommes, horriblement méchants
Il y avait ici deux hommes, qu'on pourrait appeler les Oreste et Pylade de Bourbonne. L'un se nommait Olivier, et l'autre Félix; ils étaient nés le même jour, dans la même maison, et des deux soeurs. Ils avaient été nourris du même lait; car l'une des mères étant morte en couche, l'autre se chargea des deux enfants. Ils avaient été élevés ensemble; ils étaient toujours séparés des autres: ils s'aimaient comme on existe, comme on vit, sans s'en douter; ils le sentaient
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