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Mis à jour: 28 octobre 2025


Aujourd'hui Voltaire inscrirait cet arrêt solennel sur le socle d'une autre allégorie: ce serait le Doute, et non plus l'Amour, que sa vieille main tremblante illustrerait de ce distique. Oui, le doute, le scepticisme modeste ou pédant, audacieux ou timide, triomphant ou désolé, criminel ou repentant, oppresseur ou opprimé, tyran ou victime; homme de nos jours,

Que va-t-il faire, maintenant qu'il a secoué le joug de son oppresseur? Pourra-t-il se passer de cette volonté tyrannique qui, après tout, était un soutien? Qu'entre-prendra-t-il pour gagner son pain? Bah! il ne sera pas embarrassé; il connaît plusieurs métiers; il ne sera jamais plus malheureux qu'il n'a été. Tiens! une étoile filante! Celle qui conduisait les mages devait marcher plus lentement. Bon! encore ses histoires! Il se lève. La cloche du couvent des Pères de Saint-Louis sonne dans le lointain. Oh! les cloches du pays, celles d'Angaïs, le frais village couché dans la plaine verdoyante, quel son argentin elles avaient quand leurs voix pures montaient, ainsi qu'une prière! Un essaim de souvenirs s'éveille en lui. Impressions d'enfance, toutes fraîches encore, qui dormaient, ensevelies, au fond de son coeur. Il revoit les clairs matins du dimanche , par le chemin d'Henri IV, bordé de vieux châtaigniers, il descendait

Votre opinion très-humaine, mon cher Racine, est très-peu politique. Il faut en France qu'un roi soit oppresseur pour ne pas être opprimé. J'ai fait la guerre par devoir; et maintenant je la fais par goût, parce que j'ai appris

Je crois comprendre l'ironie qui se cache sous vos paroles. Le grand publiciste français me jugerait-il donc comme la foule qui ne connaît de moi que mon nom et un aveugle préjugé? Ce livre m'a fait une renommée fatale, je le sais: il m'a rendu responsable de toutes les tyrannies; il m'a attiré la malédiction des peuples qui ont personnifié en moi leur haine pour le despotisme; il a empoisonné mes derniers jours, et la réprobation de la postérité semble m'avoir suivi jusqu'ici. Qu'ai-je fait pourtant? Pendant quinze ans j'ai servi ma patrie qui était une République; j'ai conspiré pour son indépendance, et je l'ai défendue sans relâche contre Louis XII, contre les Espagnols, contre Jules II, contre Borgia lui-même qui, sans moi, l'eût étouffée. Je l'ai protégée contre les intrigues sanglantes qui se croisaient dans tous les sens autour d'elle, combattant par la diplomatie comme un autre eût combattu par l'épée; traitant, négociant, nouant ou rompant les fils suivant les intérêts de la République, qui se trouvait alors écrasée entre les grandes puissances, et que la guerre ballottait comme un esquif. Et ce n'était pas un gouvernement oppresseur ou autocratique que nous soutenions

C'était surtout le Français aux moustaches rousses qui le poursuivait sans cesse. Donat s'était mis en tête que son premier oppresseur était aussi le voleur de ses billets, et le Français pouvait lire ce soupçon dans ses yeux.

Pierre, depuis longtemps observait le silence; Un noir pressentiment faisait battre son coeur; Il avait beau lutter, se faire violence, Il restait au pouvoir de l'occulte oppresseur. Aussi redoutait-il ces bourrasques fréquentes Qui sont le cauchemar du courageux marin, Car le vent soulevait des vagues écumantes, L'air devenait plus lourd, et le ciel moins serein.

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