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Mis à jour: 22 juin 2025
Elle n'est pas morte! balbutia M. Ferrand qui se redressa et se mit en marche le premier, plus chancelant qu'un homme ivre. Lucien et moi nous le soutenions de chaque côté. Quand nous le suivîmes on n'entendait plus rien. Nous marchâmes pendant deux longues minutes au moins, et
»Vous avez parfaitement raison; il faut que Newstead et moi nous nous soutenions, ou tombions ensemble. J'y ai vécu, j'y ai attaché mon cœur, et jamais besoin d'argent présent ou
Après, le premier consul a répondu que cela ne le regardait pas, que nous étions des brigands, et que c'étaient nous qui, avec nos brigandages, soutenions la guerre de la Vendée; que le jour où nous ne ferions plus passer d'argent en Bretagne, il n'y aurait plus de Chouannerie. Cela me paraît admirablement raisonné. Que c'était dans l'Est et dans le Midi qu'il fallait frapper l'Ouest.
Avant la politique de Sir John A. Macdonald, et la Confédération que est son oeuvre, nous étions théoriquement avec Ontario sur un pied d'égalité absolue. En fait, notre discipline politique nous avait fait les maîtres; et nos voix déterminaient la balance du pouvoir, en faveur du parti que nous soutenions, quel qu'il fût.
Ici se termine ce qu'a écrit sur la fièvre éphémère catarrhale ce judicieux praticien: ensuite il ajoute relativement aux dysenteries: «Dans celles qui étaient récentes nous soutenions les évacuations alvines avec le petit-lait tamariné, le tartrate acidulé de potasse, et le sulfate de magnésie. Malheureusement les militaires viennent presque tous trop tard dans les hôpitaux, et alors la prostration de leurs forces ne permet plus d'évacuer la cause dysentérique, et nous sommes réduits
Je crois comprendre l'ironie qui se cache sous vos paroles. Le grand publiciste français me jugerait-il donc comme la foule qui ne connaît de moi que mon nom et un aveugle préjugé? Ce livre m'a fait une renommée fatale, je le sais: il m'a rendu responsable de toutes les tyrannies; il m'a attiré la malédiction des peuples qui ont personnifié en moi leur haine pour le despotisme; il a empoisonné mes derniers jours, et la réprobation de la postérité semble m'avoir suivi jusqu'ici. Qu'ai-je fait pourtant? Pendant quinze ans j'ai servi ma patrie qui était une République; j'ai conspiré pour son indépendance, et je l'ai défendue sans relâche contre Louis XII, contre les Espagnols, contre Jules II, contre Borgia lui-même qui, sans moi, l'eût étouffée. Je l'ai protégée contre les intrigues sanglantes qui se croisaient dans tous les sens autour d'elle, combattant par la diplomatie comme un autre eût combattu par l'épée; traitant, négociant, nouant ou rompant les fils suivant les intérêts de la République, qui se trouvait alors écrasée entre les grandes puissances, et que la guerre ballottait comme un esquif. Et ce n'était pas un gouvernement oppresseur ou autocratique que nous soutenions
Je ne puis parler que très succinctement des opérations du siège ou blocus que nous soutenions. Les fortifications de Gênes ne consistaient,
La politique que nous soutenions et pratiquions ainsi avait son principal point d'appui dans l'influence prépondérante des classes moyennes: influence reconnue et acceptée dans l'intérêt général du pays, et soumise
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