Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 28 juillet 2025
Cette fille infortunée était, en effet, la Teresa, fille du comte de Ojedo que Don Juan avait jadis séduite. Il la reconnut bientôt. Il se fit reconnaître d'elle et constata, en effet, que sa vue avait plongé dans un trouble profond la fille de l'homme qu'il avait assassiné.
L'affaire de Don Alfonso de Ojedo devait être oubliée des habitants de Séville comme elle l'était de lui-même. D'ailleurs, Don Juan avait envie de s'exercer sur un théâtre plus digne de sa qualité. Les aventures de camp et de garnison lui semblaient banales
Je me nomme Don Pedro de Ojedo; je suis le fils de Don Alfonso que vous avez tué, de Doña Fausta que vous avez tuée, de Doña Teresa que vous avez tuée... comte de Maraña. Je ne suis plus le comte de Maraña. Qui que vous soyez, votre heure a sonné. Si telle est la volonté de Dieu, je périrai. Mon frère, je m'agenouille devant vous.
Non, non, tu serais trop heureux de mourir ainsi, il faut combattre! Je ne combattrai pas! Don Juan, tu n'es qu'un lâche... Je suis un lâche, reprit lentement le moine, dont le visage avait blêmi. Et les lâches, voici comment on les traite!» Et ce disant, Don Pedro de Ojedo appliquait un violent soufflet sur la joue de dom Ambroise.
L'affaire Ojedo avait été, semble-t-il, étouffée.
Tâchez, si le coeur vous en dit, d'être amoureux de la seconde, Teresa. Ainsi pourrons-nous mener le siège de conserve. Ah! voici qu'elles se lèvent enfin. On est donc bien dévot dans la famille de Ojedo? Hâtons-nous. Peut-être le vent soulèvera-t-il leurs légères basquines, tandis qu'elles monteront en voiture, et apercevrons-nous ainsi la ligne charmante de leurs jambes...»
Les souffrances que s'imposa Don Juan pour expier le nouveau crime qui avait fait périr le dernier membre de l'infortunée famille de Ojedo sont parmi les plus terribles que l'histoire monastique ait enregistrées. La moindre de ses pénitences, c'est que, chaque matin notamment, il devait se présenter au frère cuisinier qui le gratifiait d'un vigoureux soufflet.
Celui-ci avait soudain jeté son capuchon en arrière, relevé ses manches et saisi une épée: «Défends-toi, Pedro de Ojedo!» cria-t-il. Ils se mirent en garde, mais le combat ne fut pas long. En quelques instants, Pedro fut étendu
La famille de Maraña. Les âmes du Purgatoire. À l'Université de Salamanque. Don Garcia Navarro. À l'église. Fausta et Teresa de Ojedo. Première sérénade.
Le soir, Don Juan, ayant bu une bouteille d'amontillado pour se donner du courage, se rendit chez les Ojedo, frappa
Mot du Jour
D'autres à la Recherche