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Mis à jour: 15 juin 2025


On comprend, dès lors, que lorsqu'Ivan Ogareff avait, par une cruelle ironie, placé la lettre impériale devant ses yeux qu'il croyait éteints, Michel Strogoff avait pu lire, avait lu cette lettre qui dévoilait les odieux desseins du traître. De l

Ivan Ogareff, imperturbable comme toujours, répondit froidement aux déférences des hauts fonctionnaires envoyés

Ivan Ogareff et le housch-bégui firent quelques pas en avant, et, presque aussitôt, deux hommes, que des soldats ne pouvaient retenir, parurent devant eux. Le housch-bégui, sans plus d'information, fit un geste qui était un ordre de mort, et la tête de ces deux prisonniers allait rouler

Mais, Sangarre, il y a au campement plusieurs milliers de prisonniers, et tu dis que tu ne connais pas Michel Strogoff! Non, répondit la tsigane, dont le regard s'imprégna d'une joie sauvage, je ne le connais pas, moi, mais sa mère le connaît! Ivan, il faudra faire parler sa mère! Demain, elle parleras'écria Ivan Ogareff.

Ivan Ogareff salua militairement le grand duc, n'oubliant pas qu'il était capitaine au corps des courriers du czar, et il se retira.

En faisant de Michel Strogoff un espion, il savait que la sentence prononcée contre lui serait terrible. Michel Strogoff avait marché sur Ivan Ogareff. Les soldats l'arrêtèrent. L'émir fit alors un geste devant lequel se courba toute la foule. Puis, il désigna de la main le Koran, qui lui fut apporté. Il ouvrit le livre sacré et posa son doigt sur une des pages.

Parmi ces prisonniers figurait au premier rang Michel Strogoff. Conformément aux ordres d'Ivan Ogareff, il était spécialement gardé par un peloton de soldats. Sa mère et Nadia étaient l

Cette profonde obscurité allait favoriser plus complètement les projets d'Ivan Ogareff.

«Sangarres'écria Ivan Ogareff, dans le premier moment de surprise, et n'imaginant pas que ce pût être une autre femme que la tsigane. Ce n'était pas Sangarre, c'était Nadia.

«Ivan, dit-il d'une voix menaçante, Ivan le traître, la dernière menace de mes yeux sera pour toiIvan Ogareff haussa les épaules. Mais Michel Strogoff se trompait. Ce n'était pas en regardant Ivan Ogareff que ses yeux allaient pour jamais s'éteindre. Marfa Strogoff venait de se dresser devant lui.

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