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A quoi vais-je penser! se dit le duc. Deviendrais-je fou? Il fit un effort pour se ressaisir et de nouveau pria. Mais les brillantes sphères de cristal, les soleils transparents, tournèrent devant ses yeux au son d'une musique douce et du refrain obsédant de l'Enfant doré: Je reviendrai parmi vous, Sur l'ordre du More.

En allant au marché de Middelburg, pour vendre le lait et le beurre de la maison, elle ruminait ce souci obsédant, et se désolait d'être ainsi dédaignée, malgré sa gentillesse. Je veux briller, songeait-elle; car je vaux toutes les autres.

Mais le mariage est une gêne, un frein, une entrave. Il contient le désir, il discipline l'amour. «Mais le mariage veut mâter la naturec'est le gros grief de M. Sébastien Faure; et comme il le développe avec grâce! Comprenez-vous un jeune homme et une jeune fille qui, s'aimant pour le bon motif, ont l'insanité de se lier pour toujours? Pauvres nigauds! «C'est ce «toujours» qui, nouveau d'abord, fatigant bientôt, obsédant enfin, vous enlèvera la fougue des exubérants désirs, vous laissera quelque temps

Ah! ce bourdon! s'écria François, il est vraiment obsédant, on en a la tête grosse, et qui éclate! La Savoyarde s'était mise

Il bégaya, essaya de trouver quelque chose, et, pénétré par ce regard obsédant comme une conscience, il eut un élan de franchise forcée... C'était en style maigre et emphatique, ce style de barreau qui gesticule avec de grandes manches, une lettre

Après lecture de ce morceau, est-il permis de trouver au moins singulier, chez George Sand, cet obsédant besoin de se justifier, quand on connaît sa lettre, évidemment antérieure

Dès le départ, un cantique s'était dégagé du sourd grondement de la foule. C'était la complainte de Bernadette, les six dizaines de couplets, la Salutation angélique revenait au refrain, dans un rythme obsédant. Quand on avait fini ces soixante couplets, on les recommençait. Et le bercement reprenait sans fin: Ave, ave, ave, Maria! stupéfiant l'esprit, brisant les membres, emportant peu

Il se répétait: «Elle va mouriret le bruit des roues sur les rails, comme un refrain obsédant et monotone, ronronnait: «Elle va mourir, mourir, mourirEt ce mot funèbre se répétait de plus en plus vite, torturant comme un cauchemar. André s'enfonça la tête dans les mains, se boucha les oreilles. Il était seul.

Les torrents des rochers, le sable blond des rives, Les vaisseaux balancés, l'Automne dans les bois, Les bêtes des forêts, surprises et captives, Méditaient dans mon coeur et gémissaient en moi! O mort, laissez-les fuir vers la forêt puissante, Ces fauves compagnons de mon silence ardent! Que leur native ardeur, féroce et caressante, Peuple la chaude nuit d'un murmure obsédant.

Il me vint alors, comme nous nous taisions tous les deux, un souvenir redoutable et obsédant. Du livre de ballades que j'avais lu et relu pendant ma convalescence au point qu'il continuait de composer avec quelques autres l'atmosphère de mes jours, une phrase, une toute petite phrase se détachait. Je l'entendais en moi, comme si un autre que moi la prononçait. Elle était tirée de la légende du lord de Burleigh. Le lord de Burleigh s'adresse