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Mis à jour: 21 juin 2025


C'était donc dans les environs de Noyon qu'il devait aller chercher cette terre, c'est-

Le roi lui fit une malice fort plaisante. M. de Noyon étoit fort des amis du premier président d'Harlay, qu'il avoit apprivoisé au point de l'aller voir aux heures les plus familières, et de manger chez lui sans être prié quand il vouloit. Le roi lui demanda un jour si le premier président faisoit bonne chère. «Mais, sire, répondit-il, assez bonne, une bonne petite chère bourgeoiseLe roi rit, et mit ce mot en réserve. Quatre jours après, le premier président étant venu parler au roi dans son cabinet, le roi lui rendit le propos de M. de Noyon, qui le piqua au point on le peut croire du plus faux et du plus glorieux des hommes. Il ne dit mot, et attendit M. de Noyon

Et chacun connaît le maçon qui bâtit ces masures, tandis que les noms de ceux qui ont élevé les cathédrales de Noyon, de Chartres, de Reims, l'admirable façade de Notre-Dame, ne nous sont pas conservés! Sic vos non vobis! soupira mélancoliquement une voix de basse-taille derrière les deux amis. Qui se permet d'écouter aux portes? dit Victor en se retournant vers le nouveau venu.

Ham qui s'était rendu au roi l'année précédente, était retourné au parti d'Herbert. Le fils de ce dernier, Eudes, l'occupa et s'en servit comme base pour aller piller les environs de Soissons et de Noyon.

M. de Noyon avoit boisé tout son appartement de Noyon peint en brun, et dans tous les cadres c'étoient deux clefs en sautoir dans un manteau ducal avec la couronne, sans pas un chapeau d'évêque; et cela répété partout; aux deux côtés de sa galerie il avoit mis une grande carte généalogique avec cette inscription: Descente des empereurs d'Orient, en l'une, et en l'autre, d'Occident de la très-auguste maison de Clermont-Tonnerre; et au milieu un grand tableau qu'on eût pris pour un concile sans deux religieuses qui le fermoient; et il disoit que c'étoient les saints et les saintes de sa maison. Dans sa chambre

Le 19 août 1790, Robespierre reçut de Blérancourt, près de Noyon, une lettre; l'écriture en était nette et hardie, il lut: «Vous qui soutenez la patrie chancelante contre le torrent du despotisme et de l'intrigue, vous que je ne connais que comme Dieu, par des merveilles, je m'adresse

[Note 38: Quand il eut épousé sa gouvernante, il allait lui-même au-devant de ses souvenirs d'abbé, en plaisantant sur ce qu'il aurait été fait clerc, et peut-être sous-diacre, mais par l'évêque de Noyon, et l'évêque de Noyon ne faisait rien de sérieux. L'abbé Delille eut de tout temps son abbé de Cournand attaché

Les suffragants de l'archevêque de Reims, en 1121, étaient probablement les évêques de Soissons, d'Arras, de Laon, de Beauvais, de Châlons, de Noyon, d'Amiens, de Senlis et de Térouenne. On ignore quels sont ceux de ces prélats qui assistèrent au concile. Il y en eut sans doute très-peu; on verra plus bas que l'assemblée n'était pas nombreuse.

Ce couvent avait été fondé auprès de Soissons, sur la rive droite de l'Aisne, par le roi Clotaire I. La mission des moines était de desservir l'église les restes de ce prince furent longtemps déposés près de ceux de saint Médard, premier évêque de Noyon, apôtre de ces contrées. C'était un monastère considérable et respecté, investi de grands privilèges. L'abbé qui se nommait Geoffroi et qui était un homme instruit et distingué, traita son captif ou plutôt son hôte avec de grands égards; et les moines, espérant le garder longtemps, l'accueillirent avec beaucoup d'empressement, et s'efforcèrent de le consoler par mille soins; mais nulle consolation n'était possible. Rien au monde ne pouvait rendre au triste Abélard ce qui venait de lui échapper. La dernière, la plus puissante et la plus vieille de ses illusions était évanouie: un pouvoir s'était rencontré qui ne pliait pas devant lui. La vérité et l'éloquence avaient été vaincues dans sa personne, et l'ascendant de son génie était méconnu. Pour la première fois, il sentait sa faiblesse et presque son déclin. On ne peut peindre son désespoir. Passant de l'abattement

M. de Noyon eut une maladie qui le mit

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