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Mis à jour: 31 mai 2025


D'abord, et par la force des choses, il lui est arrivé, aussi souvent qu'aux plus grands des classiques, d'exprimer, selon la définition de Nisard, des idées générales sous une forme souveraine et définitive (laquelle d'ailleurs, quoique définitive, peut toujours être renouvelée). Je n'ai pas

Je laisserai aller de la prose qui sera tout simplement une traînée d'encre, mais par exemple je ne signerai pas! Non, je ne signerai pas. J'avais mis mon nom au bas de l'article contre Nisard, je prends un masque de carton maintenant. Je n'ai pas attendu, pâti, lutté pour aboutir

Il s'égayait volontiers sur le compte de son confrère, M. Nisard est de l'Académie, qui lui avait un jour,

Je poursuis: «M. Nisard inaugurait un genre... Il nous était réservé de le voir renouveler par un ami de Cicéron, un commensal de la maison d'HoraceÇa, c'est M. Boissier. J'aime mieux vous le dire tout de suite, car enfin une paysanne exquise comme vous êtes, et qui n'a jamais tenu de salon littéraire, n'est vraiment pas obligée,

J'ai refait un théâtre pour cette foire. M. Nisard n'en parlera pas dans sa prochaine édition de l'Histoire de la littérature. M. Magnin non plus dans son Histoire des marionnettes. C'est vrai cependant. Pour une trentaine de francs, récoltés d'ici et l

M. Nisard commence par se former une idée générale, et comme purifiée, du génie français. Cette idée, il l'a tirée d'une première vue d'ensemble de notre littérature. Il y fait entrer, comme partie intégrante, les croyances de la philosophie spiritualiste. À l'idéal ainsi conçu il compare les oeuvres des écrivains et les exalte ou les malmène selon qu'elles s'en rapprochent plus ou moins. Au reste, il isole ces oeuvres, néglige le plus souvent la personne même des écrivains; ou, s'il en parle, c'est pour leur attribuer, au nom du libre arbitre, le mérite ou le déshonneur d'avoir servi ou trahi l'idéal littéraire dont il a posé au commencement la définition. Il ne saisit expressément aucun lien de nécessité entre les oeuvres et les producteurs, entre ceux-ci et les milieux sociaux, ni entre les époques successives. Et pourtant son Histoire se déroule suivant un plan inexorable, et l'esprit français ressemble chez lui

M. Taine, dans son Histoire de la littérature anglaise fait absolument le contraire et fait cependant la même chose. Tandis que M. Nisard ne considérait que les oeuvres, M. Taine affecte de considérer surtout les causes proches ou lointaines dont elles sont l'aboutissement; et, tandis que M. Nisard coupait les oeuvres de leurs racines, il étudie, lui, ces racines jusque dans leurs dernières ramifications et le sol même elles s'enfoncent. Mais cette explication des livres par les hommes, et des hommes par la race et le milieu, n'est souvent qu'un leurre. Car le critique s'est d'abord formé, sans le dire, par une première revue rapide de la littérature anglaise, une idée du génie anglais (comme M. Nisard du génie de la France), et c'est de l

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