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Mis à jour: 5 juillet 2025
J'étais d'autant plus affectée de l'assertion du général Berton sur la conduite du maréchal Ney, dans la journée du 18 juin, que non seulement j'en connaissais l'absolue fausseté, mais que je savais l'estime personnelle dont l'illustre guerrier avait mille fois renouvelé les témoignages
Cependant, l'assaut général venait d'être ordonné. Ney avait
J'ai dit que les corps du maréchal Ney et de Reynier se trouvaient l'avant-veille de la bataille au pied de la montagne d'Alcoba, en présence de l'ennemi. Ces deux généraux, attendant avec impatience le généralissime, se communiquaient par écrit leurs observations respectives sur la position de l'armée anglo-portugaise. Or, il existe une lettre datée du 26 septembre au matin, dans laquelle le maréchal Ney disait au général Reynier: «Si j'avais le commandement, j'attaquerais sans hésiter un instant!» Ils exprimaient l'un et l'autre le même sentiment dans leur correspondance avec Masséna: «Cette position est loin d'être aussi formidable qu'elle le paraît, et si je n'eusse été aussi subordonné, je l'aurais enlevée sans attendre vos ordres.» Les généraux Reynier et Junot ayant assuré que rien n'était plus facile, Masséna, s'en rapportant
« Elle l'aurait fait! répondis-je; elle a tout quitté pour lui, n'a vécu que pour l'aimer, et il était libre.» Ney voulut me donner deux billets de banque, sous prétexte des besoins supposés de Camilla. Je refusai, me faisant, certes, bien plus riche que je ne l'étais; mais n'avais-je pas la terrible crainte que bientôt peut-être il ne lui resterait de fortune que son nom.
Je ne pouvais comprendre comment un officier de chasseurs et deux fantassins du corps du maréchal Ney se trouvaient aussi près de Tarazone, lorsque leurs régiments n'y étaient point encore passés; mais il est probable que ces malheureux, pris ailleurs, étaient dirigés sur Saragosse, lorsque les Espagnols qui les conduisaient, ayant su la défaite de leurs compatriotes
Pendant cette scène déplorable, le maréchal Ney, qui se consumait en efforts pour réparer sa faute, parvient enfin
Je ne pouvais croire que si Napoléon revenait, Ney partirait avec le roi. Dans tout cela, lui seul m'occupait et m'intéressait; et je ne voyais pas trop comment il réussirait
J'essayai aussi d'avoir quelques relations avec l'aide de camp du maréchal Ney, qui, par son dévouement et sa position, me paraissait en mesure de satisfaire cette curiosité affamée de nouvelles et de confidences que l'état de mon cœur justifiait assez. Mais une prudence, légitime sans doute, car elle ne pouvait prendre sa source que dans un zèle long-temps éprouvé, lui fit éviter tout contact avec une personne que tant d'honorables confiances entouraient. Le soin d'un repos qu'il croyait nécessaire
Le premier corps était sauvé, mais on apprenait en même temps que notre arrière-garde ne pouvait plus se défendre dans Krasnoé; que Ney était peut-être encore dans Smolensk, et qu'il fallait renoncer
La Navarre et les provinces du Nord étaient infestées par de nombreuses guérillas, auxquelles les troupes de la jeune garde de l'Empereur faisaient une petite guerre incessante. Les généraux Bonnet et Drouet occupaient la Biscaye et les Asturies, Ney tenait la province de Salamanque, et Junot celle de Valladolid. Les Français venaient d'évacuer la Galice, pays trop pauvre pour nourrir nos troupes.
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