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Mis à jour: 18 juin 2025
Fridolin, sérieux et droit, la main aux naseaux de la jument, dit d'une voix forte: Si madame est bien décidée
En ce moment Sperver ralentit sa marche et s'écria: «Fritz, il faut arriver avant la nuit close... En avant!...» Mais il eut beau éperonner, son cheval restait immobile, arc-boutant ses jambes de devant avec horreur, hérissant sa crinière, et lançant de ses naseaux dilatés deux jets de vapeur bleuâtre. «Qu'est-ce que cela? s'écria Gédéon tout surpris... Ne vois-tu rien, Fritz?... est-ce que...»
Jamais bon animal n'a trop de sang, répondit Marguerite; je ferai mieux, vous allez voir. Elle emplit sa main de neige et versa dessus de l'eau-de-vie. Avec ce mélange, elle frotta les naseaux du cheval, qui souffla bruyamment. Elle lui ouvrit la bouche et y introduisit le reste de son vulnéraire improvisé.
«Eh bien, Karabach, mon ami, dit-il en lui passant la main sur les naseaux et en l'embrassant.... Eh bien, nous ferons de la besogne demain. Eh quoi, bârine, vous ne dormez pas? dit un cosaque qui était assis près des fourgons. Non, Likhatchow; c'est ton nom, n'est-ce pas? Je viens de rentrer: nous sommes allés faire une visite aux Français.»
L'inconnu et Jacques quittèrent la prairie et entrèrent dans un petit bois. Tout au milieu, derrière un fourré, Jacques aperçut un cheval qui piaffait en tournant autour d'un ormeau auquel il était attaché. Un frein lié sur ses naseaux l'empêchait de hennir. Jacques n'avait jamais vu un si bel animal, même dans les écuries de M. de Malzonvilliers. Il s'approcha du cheval, lui caressa la croupe, dénoua le frein qui l'irritait, et s'apprêtait
Elle étendit la main et caressa les naseaux de l'alezan qui avançait sa belle tête fine.
Ces deux hommes, traînés par un cheval noir dont les naseaux soufflaient une épaisse fumée, précédaient un second traîneau, sur lequel ils jetaient de temps en temps les yeux, comme pour le surveiller.
C’est pourquoi, tout en dessinant, sans qu’il s’en doute, les naseaux de Delavau, et le curé qui bat des ailes en parlant, j’écoute et chante leur couplet, que je connais: «Quel orgueil, quelle joie d’être Clamecycois!» Et pardieu, je le pense. C’est une bonne ville. Une ville qui m’a fait ne peut être mauvaise. La plante humaine y pousse
Où aller?... Son cheval faiblissait; il rendait du sang par les naseaux; ses flancs ruisselaient de sang. Et lui-même, tout sanglant, tout déchiré, sa rapière nue en travers de la selle, les yeux flamboyants, penché sur l'encolure écumante, passait comme une foudroyante vision!... Où allait-il?... Où aboutirait-il?... Il ne savait pas!... Mourir!... mourir sans avoir frappé Maurevert!...
Mais Pégase irrité par le fouet de la lame, À l'appel du Héros s'enlevant d'un seul bond, Bat le ciel ébloui de ses ailes de flamme. Le Ravissement d'Andromède D'un vol silencieux, le grand Cheval ailé Soufflant de ses naseaux élargis l'air qui fume, Les emporte avec un frémissement de plume À travers la nuit bleue et l'éther étoilé. Ils vont.
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