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Mis à jour: 27 juillet 2025
Il y a eu cette fois mort d'homme, il est vrai; mais une mort qu'aucune loi n'ordonnait et que personne n'eût exigée. Aussi l'
J'avais pour elle le meilleur médecin du pays. Il l'avait abandonnée en ce sens qu'il n'ordonnait plus que des choses insignifiantes; mais il venait la voir tous les jours, et il arriva au moment où je l'envoyais chercher. Est-ce la fin? lui dit tout bas Moserwald. Eh! qui sait? répondit-il en levant les épaules avec chagrin. Quoi! m'écriai-je, vous ne pouvez pas la ranimer?
Cependant l'aga fit venir l'amiral devant lui, et eut l'insolence de lui demander comment il avait été assez hardi pour venir dans le port de Moka, si près de la Ville Sainte. Middleton lui répondit qu'il n'y était entré que sur les instances et les promesses qu'on lui avait faites, et sur la foi des traités qui subsistaient entre le roi d'Angleterre et le grand-seigneur. L'aga répliqua qu'il n'était pas permis aux chrétiens d'approcher de la Ville Sainte, ni de Moka, qui en était la clef; que le pacha avait ordre de faire esclaves tous ceux qui se présenteraient. Le grand-seigneur n'ordonnait pas sans doute qu'on attirât les étrangers dans des piéges pour les arrêter par trahison. Mais, si les ordres qu'alléguait ce Turc étaient réels, quelle stupidité de la part du divan de Constantinople d'éloigner les commerçans qui apportaient leurs richesses dans ses ports, et qui venaient grossir les revenus du grand-seigneur! car les droits de la douane de Moka étaient évalués
Les affaires dont le sénat n'ordonnait pas, il les portait aux conseils; avec leur présidence il avait l'initiative des rapports et des propositions. Enfin il faisait les lois avec cette restriction seule qu'il ne pouvait accroître ses propres pouvoirs. On avait tant accordé dans les chances du sort au principe de l'égalité de tous les nobles, que l'on voulut en balancer les conséquences, en confiant l'autorité législative
D'ailleurs Berthier n'ordonnait rien de lui-même, il se contentait de répéter fidèlement la lettre même des volontés de Napoléon; car, pour leur esprit, soit fatigue ou habitude, il lui arrivait sans cesse de confondre la partie positive de ses instructions avec leur partie conjecturale.
Autrefois Napoléon n'ordonnait guère qu'avec la possibilité d'être obéi, mais les merveilles de la guerre de Prusse avaient eu lieu, et depuis, l'impossibilité ne fut plus admise. On ordonnait toujours, tout devant être tenté, puisque jusque-l
Cette lettre probablement n'avait été qu'un ballon d'essai; ce n'était pas la ligne de conduite qu'il devait adopter: il savait trop bien que sa seule chance était de flatter, de paraître humble, doux et ignorant; il savait qu'il pouvait gagner la sympathie de l'Angleterre en prenant cette voie, et qu'un ton impérieux ne servirait nullement ses projets et ne lui serait d'aucun secours pour le but qu'il poursuivait depuis longtemps. Le lendemain, de bonne heure, un envoyé arriva du camp impérial avec une lettre du général Merewether, et une autre de Théodoros. Qu'elle était différente, cette dernière lettre, de celle qu'avait apportée Ras-Engeddah! Elle était insinuante, courtoise: il n'ordonnait plus, il demandait humblement; il suppliait, il implorait avec douceur; il commençait ainsi: «Maintenant, pour me prouver que vous voulez établir de bonnes relations d'amitié entre vous et moi, promettez-moi, dans votre réponse, de m'envoyer d'habiles ouvriers; que M. Flad vienne aussi par la route de Metemma. Ce sera le gage de notre amitié.» Il citait l'histoire de Salomon et d'Hiram,
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