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Mis à jour: 11 juin 2025
Les Grecs, qui sont naturellement observateurs et commerçans, n'ont pas tardé
La loi sur l'émigration allait être discutée. Chapelier la présenta au nom du comité. Il partageait, disait-il, l'indignation générale contre ces Français qui abandonnaient leur patrie; mais il déclarait qu'après plusieurs jours de réflexions, le comité avait reconnu l'impossibilité de faire une loi sur l'émigration. Il était difficile en effet d'en faire une. Il fallait se demander d'abord si on avait le droit de fixer l'homme au sol. On l'avait sans doute, si le salut de la patrie l'exigeait; mais il fallait distinguer les motifs des voyageurs, ce qui devenait inquisitorial; il fallait distinguer leur qualité de Français ou d'étrangers, d'émigrans ou de simples commerçans. La loi était donc très difficile, si elle n'était pas impossible. Chapelier ajouta que le comité, pour obéir
Par le premier décret, le comité de sûreté générale et les représentans en mission étaient chargés d'examiner les réclamations des commerçans, des laboureurs, des artistes, des pères et mères des citoyens présens aux armées, qui étaient ou avaient des parens en prison. Par un second, les municipalités et les comités des sections étaient tenus de motiver leurs refus, quand ils n'accordaient pas de certificats de civisme. C'étaient l
Sujet, il décide du sort de l'état, sans l'aveu de son souverain; noble, il prononce la destruction des palais de tous les nobles, sans leur consentement; protecteur, par la place qu'il occupe, d'un peuple nombreux, d'une foule de riches commerçans, de l'une des plus grandes capitales de l'Europe, il sacrifie ces fortunes, ces établissemens, cette ville tout entière; lui-même, il livre aux flammes le plus beau et le plus riche de ses palais, et fier, satisfait et tranquille, il reste au milieu de tous ces intérêts blessés, détruits et révoltés.
Napoléon haïssait les traitans. Il voulut que l'administration de l'armée organisât des chariots lithuaniens; cinq cents furent rassemblés; leur vue l'en dégoûta. Il permit alors qu'on traitât avec des Juifs, qui sont les seuls commerçans de ce pays; et les vivres, arrêtés
Une nouvelle source d'instruction fut ouverte au monde, par les voyages et expéditions commerciales des Phéniciens. Ce peuple marchand, riche et entreprenant, fonda des colonies sur la côte d'Afrique et sur celle d'Espagne; ses marins visitèrent un grand nombre de côtes inconnues, et ses marchands entretinrent des liaisons avec des peuples qui ne s'étaient pas connus entr'eux jusqu'alors. C'était une époque de découvertes géographiques. Cependant les Phéniciens, comme tous les peuples commerçans, étaient jaloux; ils ne voulurent pas trop divulguer leurs découvertes, de peur de montrer le chemin
Cependant l'aga fit venir l'amiral devant lui, et eut l'insolence de lui demander comment il avait été assez hardi pour venir dans le port de Moka, si près de la Ville Sainte. Middleton lui répondit qu'il n'y était entré que sur les instances et les promesses qu'on lui avait faites, et sur la foi des traités qui subsistaient entre le roi d'Angleterre et le grand-seigneur. L'aga répliqua qu'il n'était pas permis aux chrétiens d'approcher de la Ville Sainte, ni de Moka, qui en était la clef; que le pacha avait ordre de faire esclaves tous ceux qui se présenteraient. Le grand-seigneur n'ordonnait pas sans doute qu'on attirât les étrangers dans des piéges pour les arrêter par trahison. Mais, si les ordres qu'alléguait ce Turc étaient réels, quelle stupidité de la part du divan de Constantinople d'éloigner les commerçans qui apportaient leurs richesses dans ses ports, et qui venaient grossir les revenus du grand-seigneur! car les droits de la douane de Moka étaient évalués
Quelques maisons de commerçans, où l'on ne jouoit point, étoient celles que je fréquentois le plus et qui me convenoient le mieux; mais aucune n'avoit pour moi autant d'attrait que celle d'Ansely . Ce négociant étoit un philosophe anglois, d'un caractère vénérable.
Qu'on se figure après le 9 thermidor deux partis aux prises, dont l'un s'attache aux moyens révolutionnaires comme indispensables, et veut prolonger indéfiniment un état essentiellement passager; dont l'autre, irrité des maux inévitables d'une organisation extraordinaire, oublie les services rendus par cette organisation, et veut l'abolir comme atroce; qu'on se figure deux partis de cette nature en lutte, et on concevra combien, dans l'état de la France, ils trouvaient de sujets d'accusations réciproques. Les jacobins se plaignaient du relâchement de toutes les lois; de la violation du maximum par les fermiers, les marchands, les riches commerçans; de l'inexécution des lois contre l'agiotage, et de l'avilissement des assignats; ils recommençaient ainsi les cris des hébertistes contre les riches, les accapareurs et les agioteurs. Leurs adversaires, au contraire, osant pour la première fois attaquer les mesures révolutionnaires, s'élevaient contre l'émission excessive des assignats, contre les injustices du maximum, contre la tyrannie des réquisitions, contre les désastres de Lyon, Sedan, Nantes, Bordeaux, enfin contre les prohibitions et les entraves de toute espèce qui paralysaient et ruinaient le commerce. C'étaient l
Le directoire exécutif de la république française s'est adressé plusieurs fois a la sublime Porte pour demander le châtiment des beys d'Egypte, qui accablaient d'avanies les commerçans français.
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