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Mis à jour: 5 juin 2025
Elles durèrent longtemps, si longtemps que ceux de la noce se lassèrent et protestèrent de la rue. Chaouch, cria-t-on, ménage-la. La grenade n'est pas assez mûre. Et des femmes indignées protestèrent
Le 12 mai, George Sand répond point par point et donne au poète pleine licence d'user de sa liberté reconquise: «Aime donc, mon Alfred, aime pour tout de bon. Aime une femme jeune, belle et qui n'ait pas encore aimé, pas encore souffert. Ménage-la, et ne la fais pas souffrir; le coeur d'une femme est une chose si délicate, quand ce n'est pas un glaçon ou une pierre.» A ses confidences elle en oppose d'autres, qui ont trait
Et voici une hypothèse complémentaire (elles sont toutes permises, puisque, sur sa jeunesse, nous ne savons rien que par lui). En 1790, il mène une vie fort dissipée. Les deux premières lettres que nous ayons de lui (au chevalier de Châtenet) sont d'un très mauvais ton. Ce Châtenet voudrait épouser Lucile. Le chevalier de Chateaubriand lui écrit: «... J'ai rempli tous mes engagements auprès de ma sœur. Elle t'attend de pied ferme pour continuer le roman.» Et plus loin: «Ménage-la, si tu la séduis, mon cher Châtenet; songe que c'est une vierge.» Et, dans la deuxième lettre au même: «Je suis fâché qu'Eugénie (sans doute une camarade) m'ait mal jugé; elle est la première personne qui m'ait reproché le défaut de sensibilité.» Si, par sensibilité, elle entendait la tendresse, peut-être Eugénie ne se trompait-elle pas tant. Donc il s'amuse; et il a des dettes, notamment une «dette d'honneur» qui se monte
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