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Mis à jour: 14 mai 2025


Je regarde aussi une dernière fois notre drapeau et le portrait du Maréchal Joffre, qui symbolisent la France et que je mets au-dessus de vous, mes chers parents, car c'est pour elle que je mourrai au champ d'honneur. Vive la France! Adieu, mes chers parents. 14 Octobre 1916. Maman chérie, chers tous,

Pour voir la tulipe noire, monseigneur, cria van Baerle, en joignant les mains, et après, quand je l'aurai vue, quand j'aurai su ce que je dois savoir, je mourrai, s'il le faut, mais en mourant je bénirai Votre Altesse miséricordieuse.

Et si l'ai-ge perdu, espoir, A poi que ne m'en desespoir . Et s'il m'est donné de le voir, Oui, j'en mourrai de désespoir ! S'il fallait en croire Méon, Jehan de Meung aurait ajouté ces deux derniers vers pour commencer sa continuation, en supprimant les quatre-vingts vers qui suivent.

Je te le répète, fils dénaturé, je mourrai dans ce galetas. Je n'accepterai pas cette bouchée de pain que tu me jettes comme

Je ne sais, me répondit Léonce, alors profondément abattu, je ne sais quel est ton dessein, j'ignore ce que le souvenir de ce jour peut t'inspirer; si tu pars, je jure, et je n'ai pas besoin d'en appeler au ciel pour te convaincre, je jure de n'y pas survivre; si tu restes, peut-être ne m'est-il plus possible de te rendre heureuse; tu souffriras avec moi, ou je mourrai seul; réfléchis

Lui mourir! s'écria Geneviève; lui porter sa tête sur l'échafaud! Mais vous ne savez donc pas, Maurice, que lui c'est mon protecteur, celui de ma famille; que je donnerais ma vie pour la sienne; que s'il meurt je mourrai, et que si vous êtes mon amour, vous, lui est ma religion? Ah! dit Maurice, vous allez peut-être continuer de dire que vous m'aimez.

LE DUC DE GUISE, ébranlant la porte Ouvrez, madame, ouvrez. Fuyez, fuyez! En fuyant, vous sauvez ma vie; si vous restez, je jure de mourir avec vous, et je mourrai déshonorée...Fuyez, fuyez! Tu m'aimeras toujours? Oui, oui. LE DUC DE GUISE, en dehors Des leviers, des haches,...que j'enfonce cette porte. Pars donc! oui...oui...adieu! Adieu!...Vengeance!

Dites seulement aux jeunes dames, que je voudrais leur parler; laissez-moi les voir. Non certainement; vous n'êtes pas ce que vous devriez être, ou vous ne feriez pas un tel bruit. Partez. Mais je mourrai, si vous me chassez!

Elle fut réveillée par la voix de sa mère, qui criait dans le délire de sa fièvre: «Estelle! ma fille! mon enfant chérie! es-tu? Reviens, ma fille! Je veux te voir! Si tu ne reviens pas, je mourrai

Je donnerais ma vie pour un baiser de toi; mais, si tu me le refuses, donne-moi du moins la rose qui parfume ton sein, je mourrai de plaisir en rêvant que...

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