Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 21 juin 2025


Nous mourons de soif, il nous offre sa gourde de cidre: du pur vinaigre! Nous lui rendons de quoi boire une bouteille de cacheté,

» Vous dites donc qu'elle est bien avec l'adjoint? Oui, oui, au mieux! Ah! ah! et ce pauvre GrélinJ'entends cela de temps en temps, et ma mère ajoute des mots que je ne comprends pas. «Nous autres, les honnêtes femmes, nous mourons de faim. Celles-l

VERNON. A trente mille hommes. HOTSPUR. Fussent-ils quarante mille, sans mon père et Glendower, les troupes que nous avons peuvent suffire pour cette grande journée. Allons, hâtons-nous d'en faire la revue. Le jour fatal est proche: mourons tous s'il le faut, et mourons gaiement. DOUGLAS. Ne parlez pas de mourir: je suis d'ici

Mais maintenant, me dit-elle d'un ton caressant, maintenant que tu as trouvé deux amies, veux-tu mourir toujours? Oui, si vous mourez. Mais si nous ne mourons pas? Je haussai les épaules. Je ne demande pas mieux que de vivre, répondis-je. Et par exemple, dit Terezia en me serrant contre son coeur et en m'embrassant sur les yeux, si tu pouvais nous sauver la vie!

Elle leva les yeux au ciel et disparut dans les ténèbres. Elle dort au pied d'un arbre sous les hautes herbes. Toporoo a deviné notre secret, murmura Annetje. Eh bien! faisons comme la jeune fille, mourons, ma soeur! Oui, reprit Annetje, mais mourons sans que ni Simon, ni notre sainte et bonne mère puissent deviner notre fatal secret, sans que rien ne trouble la sérénité de leur bonheur.

Ce ne serait rien pour nous quatre, c'est trop pour nous deux. Non, tenez, divisés comme nous sommes maintenant, il faut que nous périssions. Voyez l'exemple fatal: sur la route du Vendômois, d'Artagnan, vous si brave, Porthos, vous si vaillant et si fort, vous avez été battus; aujourd'hui Aramis et moi nous le sommes, c'est notre tour. Or, jamais cela ne nous était arrivé lorsque nous étions tous quatre réunis; mourons donc comme est mort de Winter; quant

Eh bien, si nous mourons, répondit Barbicane avec une sorte d'enthousiasme religieux, le résultat de notre voyage sera magnifiquement élargi! C'est son secret lui-même que Dieu nous dira! Dans l'autre vie, l'âme n'aura besoin, pour savoir, ni de machines ni d'engins! Elle s'identifiera avec l'éternelle sagesse!

Elle va bientôt mourir, c'est certain; ses yeux qui, après les miens, étaient les seuls ayant regardé Aziyadé avec tendresse, vont s'éteindre et se décomposer; cette image d'Aziyadé, qui persistait encore au fond de sa tête finissante, bientôt n'existera plus... Quand nous mourons, ce n'est que le commencement d'une série d'autres anéantissements partiels, nous plongeant toujours plus avant dans l'absolue nuit noire. Ceux qui nous aimaient meurent aussi; toutes les têtes humaines, dans lesquelles notre image était

Le marquis répondit: J'ai tué. J'ai tué, dit Hoisnard. J'ai tué, dit Guinoiseau. J'ai tué, dit Brin-d'Amour. J'ai tué, dit Châtenay. J'ai tué, dit l'Imânus. Et Grand-Francoeur reprit: Au nom de la très sainte Trinité, je vous absous. Que vos âmes aillent en paix. Ainsi soit-il, répondirent toutes les voix. Le marquis se releva. Maintenant, dit-il, mourons. Et tuons, dit l'Imânus.

Nos ancêtres, disaient les hodjas haranguant la foule, nos ancêtres, qui n'étaient que quelques centaines d'hommes, ont conquis ce pays, il y a quatre siècles! Nous qui sommes plusieurs centaines de mille, le laisserons-nous envahir par l'étranger? Mourons tous, musulmans et chrétiens, mourons pour la patrie ottomane, plutôt que d'accepter des conditions déshonorantes ...

Mot du Jour

d'expéditions

D'autres à la Recherche