Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 16 juillet 2025
Dans cet instant, dangers, souffrance, tout fut oublié. Pouvait-on acheter trop cher le superbe bonheur de pouvoir dire toute sa vie: «J'étais de l'armée de Moskou!»
«Mais qu'enfin l'entreprise manquée militairement par cette indécision, et politiquement par l'incendie de Moskou, l'armée en aurait encore pu revenir saine et sauve. Depuis notre entrée dans cette capitale, le général et l'hiver moskovites ne nous avaient-ils pas laissé, l'un quarante Jours, l'autre cinquante jours pour nous refaire et nous retirer?»
Le prince Eugène crut aussi devoir lui apporter ses voeux. L'empereur lui dit: «Tout se prépare pour une bataille; je la gagnerai, et nous verrons Moskou.» Le prince garda le silence; mais en sortant il répondit aux questions du maréchal Mortier, «Moskou nous perdra!» Ainsi, l'on commençait
Un spectacle fâcheux ajoutait aux tristes pressentimens de notre chef. L'armée, depuis la veille, sortait de Moskou sans interruption. Dans cette colonne de cent quarante mille hommes et d'environ cinquante mille chevaux de toute espèce, cent mille combattans marchant
En entrant dans la ville, l'empereur fut frappé d'un spectacle encore plus étrange; il ne retrouvait de la grande Moskou que quelques maisons éparses, restées debout au milieu des ruines. L'odeur qu'exhalait ce colosse abattu, brûlé et calciné, était importune. Des monceaux de cendres, et, de distance en distance, des pans de muraille ou des piliers
En avant donc pour la terre, et voyons.» Cela dit, il saute sur notre globe; il enjambe de Moskou en France; puis traverse la Manche d'une autre enjambée, et vient planter son pied fourchu sur une de nos grandes routes, non loin de la demeure d'un évêque.
L'armée russe, dans cette position de Fili, en avant de Moskou, comptait quatre-vingt-onze mille hommes, dont six mille Cosaques, soixante-cinq mille hommes de vieilles troupes, restes de cent vingt et un mille hommes présens
Ce fut alors sur-tout que l'image de Moskou prisonnière obséda sois esprit: c'était le terme de ses craintes, le but de ses espérances. Dans sa possession, il trouvait tout. Dès lors, on commença
Mais cent voix l'interrompirent en s'écriant «que la patrie voulait davantage; que c'était un serf sur dix, tout armé, équipé, et pourvu de trois mois de vivres, qu'il fallait donner!» C'était offrir, pour le seul gouvernement de Moskou, quatre-vingt mille hommes et beaucoup de munitions.
C'étaient des seigneurs fiers de leur existence au milieu de leur vastes possessions; car le territoire presque entier du gouvernement de Moskou leur appartient, et ils y règnent sur un million de serfs. Enfin, c'étaient des nobles, s'appuyant, avec un orgueil patriotique et religieux, «sur le berceau et le tombeau de leur noblesse;» car c'est ainsi qu'ils appellent Moskou.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche