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Mis à jour: 26 mai 2025
Je me souvins de ce qu'on m'avait raconté de ma mère, de la force d'inertie avec laquelle elle se repliait sur elle-même, sous le poids de la douleur; je me sentis le même pouvoir; je contins, je cachai mon chagrin; je ne montrai jamais
Je montrai cette Lettre
Je me rendis dans la soirée au palais, et m'acquittai de la commission dont j'avais été chargé. Le roi de Saxe, qui voulait bien avoir quelque confiance en moi, m'avait fait demander de le voir seul. Dans cette conférence où sans aucun embarras, il me parlait de sa reconnaissance, je lui montrai la nécessité de faire quelques sacrifices, je tâchai de le convaincre que, au point où en étaient les choses, c'était le seul moyen de garantir l'indépendance de son pays. Le roi me garda près de deux heures; il ne prit encore aucun engagement et me dit seulement qu'il allait se retirer dans son intérieur avec sa famille. Quelques heures après, nous reçûmes, le prince de Metternich, le duc de Wellington et moi, l'invitation de nous rendre au palais. Le prince de Metternich que nous avions choisi pour être notre organe, fit connaître au roi, avec beaucoup de ménagement, le voeu des puissances. Le roi, avec une expression fort noble et fort touchante, nous parla de son affection pour ses peuples, et cependant nous laissa entrevoir qu'il ne mettrait point d'obstacle
«Je vous avoue, seigneur, que je fus indigné de ces paroles: car enfin, cet amant chéri, ce mortel adoré, n'était pas tel que vous pourriez vous l'imaginer: c'était un Indien noir, originaire de ces pays. Je fus, dis-je, tellement indigné de ce discours, que je me montrai brusquement; et apostrophant le même tombeau,
Sans lui faire part de la lettre de M. Lugarto, je lui montrai la cachette qu'on m'avait indiquée; il haussa les épaules et me fit cette incroyable réponse avec un air sardonique dont je fus effrayée: C'est quelque bonne bourgeoise qui avait sans doute ménagé cette armoire
Chaque soir, la première maîtresse venait avec sa petite lanterne ouvrir doucement les rideaux de mon lit, et déposait sur mon front un tendre baiser. Elle me témoignait tant d'affection, que, touchée de sa bonté, je lui dis un soir: «O Madame, je vous aime bien, aussi je vais vous confier un grand secret.» Tirant alors mystérieusement le précieux petit livre du Carmel, caché sous mon oreiller, je le lui montrai avec des yeux brillants de joie. Elle l'ouvrit bien délicatement, le feuilleta avec attention et me fit remarquer combien j'étais privilégiée. Plusieurs fois, en effet, pendant ma retraite, je fis l'expérience que bien peu d'enfants, comme moi privées de leur mère, sont aussi choyées que je l'étais
Grand Dieu!... Madame, qu'avez-vous? s'écria-t-elle. Sans lui répondre, je lui montrai la porte de ma chambre en lui disant: Je veux être seule. Ferme cette porte, laisse-moi; va dire que je veux être seule. Blondeau sortit, alla prévenir M. de Lancry que j'étais indisposée et que je voulais être seule. Je restai seule en effet
Mais jusqu'où remontaient l'intrigue et les machinations? Récemment, dans mon Louis XV (ch. XI, p. 179), réunissant des documents irrécusables, j'établis que nos pères n'avaient eu qu'une vue partielle et incomplète en ce qu'ils appelaient le Complot autrichien. Je remontai plus haut. Je donnai un fil sûr pour l'histoire de cinquante années: la Conspiration de famille. Je montrai que, non-seulement par Marie-Antoinette, Choiseul et les traités de 1756, mais bien avant, et dès Fleury, l'étranger régna
Il me parla d'amour, je fis la Madeleine; Je lui montrai le diable au fort de ses désirs, Il en eut peur, le lâche!... Et je me trouvai reine. Reine elle était en effet, mais non heureuse. Garde-malade du plus triste des rois, rivée
Quand elle fut un peu calmée, je lui racontai les résultats de mon voyage; je lui montrai la lettre de mon père, en lui faisant observer que nous en pouvions augurer du bien.
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