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Mis à jour: 10 mai 2025


Et, en disant ces mots, il fit un geste menaçant... «Misérable! s'écria son adversaire, tu ne connais donc pas Mohawtan?...» Et, au même instant, saisissant son tomahawk, il étendit

«Ami, dit encore Mohawtan en me prenant la main, ne crains rien de ma tribu... la fille de Nelson est ici... quels secours lui sont nécessaires? Parle, commande... chacun de nous t'obéira...» Ce récit m'avait jeté dans un trouble que je ne pourrais exprimer. Georges, le frère de Marie, Georges, mon ami le plus cher, n'était plus!

Ne comprenant point ces paroles mystérieuses, je pressai Mohawtan de m'en expliquer le sens. Après une pause de quelques instants, celui-ci me dit: «Depuis longtemps une insurrection de la population noire se préparait dans les

Bientôt Nelson parut. Mohawtan le reconnut sans peine; les deux amis s'embrassèrent. L'Indien, en pressant sa poitrine sur le coeur de Nelson, y sentit la douleur paternelle; il jeta un coup d'oeil dans l'intérieur de la cabane, et vit la tâche funèbre que nous venions de remplir.

En ce moment, quelque bruit se fit entendre hors de la cabane; je sortis: c'étaient des Indiens Cherokees ayant Mohawtan

Ainsi parlait Mohawtan, chef indien, fameux par sa sagesse dans les conseils et sa valeur dans les combats; l'Américain de la Géorgie écoutait ces paroles sans les comprendre, parce que c'était la voix du coeur; il leur répondait: «Pourquoi demeurer dans ces forêts, si nous vous en donnons d'autres meilleures? allez plus loin, par-del

Cet acte de violence excita une grande rumeur parmi les Ottawas... Je ne le vis point sans un sentiment d'horreur... Cependant les dernières paroles du Cherokees réveillèrent des souvenirs dans mon esprit, et je me rappelai que Georges, en me racontant les persécutions qu'avait souffertes Nelson dans la Géorgie, m'avait parlé d'un chef indien du nom de Mohawtan, renommé pour sa valeur, et qui, le premier, avait donné le signal de la résistance

«Hélas! tant d'héroïsme méritait-il une fin si funesteIci Mohawtan s'arrêta: son émotion était extrême, et je vis que l'oeil d'un Indien peut pleurer; je compris le sens de cette larme et du silence qui la précédait.

«Tiens, me dit Mohawtan, voici ce que Georges m'a confié

L'Indien me raconta les exploits de Georges, son intrépidité, son audace, ses efforts désespérés. «Le fils de Nelson, ajouta Mohawtan, voyant qu'il allait succomber sous le nombre: Ami, me dit-il d'une voix énergique, sauve ta vie; tiens, prends cet écrit, c'est pour mon père... Si jamais tu le revois, tu lui remettras l'adieu de Georges.

Mot du Jour

sainte-rose

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