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Nostradamus n'a donné sur ce poète qu'un tissu d'erreurs; Crescimbeni en corrige quelques-unes dans ses notes, mais non pas toutes. Voyez Millot, ub. supr., p. 250.

I, p. 131; sur Pierre III, Crescimbeni, vers la fin de l'article ci-dessus, p. 169; Millot, t. III, p. 150.

Voyez, sur Frédéric III, Crescimbeni, Giunta alle Vite, etc., p. 185, et Millot, t. III, p. 23.

Aimery de Belenvei; Millot, t. II, p. 334. Ailleurs, il s'élève une dispute entre le cœur d'un poëte et sa raison au sujet des plaintes que font les amants contre les dames, et chacun défend sa cause avec toutes les ressources de l'esprit. L'amour qui fait veiller en dormant, qui peut brûler dans l'eau, noyer dans le feu, lier sans chaîne, blesser sans faire de plaie; tout cela est littéralement dans des chansons de Troubadours . Quand nous retrouverons par la suite ces sortes de subtilités dans les meilleurs poëtes italiens, nous n'aurons donc pas de peine

Millot, t. II, p. 297. En voici un dont le commencement, presque anacréontique, n'annonce guère la fin; cette fin n'est,

Quel chrétien pourrait refuser de s'agenouiller quand tu lui en fais deux fois l'invitation dans un vers de huit syllabes; mais je suis de l'avis d'Arthus, j'aime encore mieux une côtelette en papillotte. Une plaisanterie n'est pas une réponse, dit Millot. Eh bien! crois-tu qu'il y ait une douleur morale qui fasse autant souffrir qu'une rage de dents et qu'un mal d'oreilles?

Le vieux curé Millot, quasi subjugué par la voix, la bonté impérieuse, la scandaleuse sincérité de ma mère, lui remonta pourtant que la messe ne se disait pas pour les chiens. Elle se hérissa comme une poule batailleuse: Mon chien! Mettre mon chien

E mi baisa la boqu'els huels amdos Don mi sembla lo ioy de Paradis. Arnaud de Marveil: Que si m'lais Dieus s'amor iauzir, Semblaria'm, tan la dezir, Ab lyeis Paradisus desertz. Arnaud Catalans. Dies una in atriis tuis super millia. L'auteur de ce trait est Bernard de Ventadour. Arnaud de Marveil. Entre autres, Pierre de Barjac. Millot, t. I, p. 122. Arnaud Daniel, dans Millot, t. II, p. 485.

Il se nommait Bernard Arnaud de Montcuc, Voyez Millot, ub. supr., p. 97. Les autres auteurs qui ont écrit sur la poésie provençale n'en parlent pas.

Naturellement... Ferme ta bouche, respire par le nez... Naturellement, voyons... J'essayai encore de réagir... Je luttai contre l'effraction, je serrai contre moi les lambeaux de mon extravagance, je voulus obliger M. Millot