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Mis à jour: 28 juin 2025
Il me répondit que M. de Metternich avait conservé la plus haute opinion du mérite de M. Fouché; qu'il avait pensé qu'un homme, tel que lui, ne pouvait croire que Napoléon se soutiendrait sur le trône; qu'il était persuadé qu'il n'avait accepté le ministère de la police, que pour épargner aux Français le malheur de la guerre civile et de la guerre étrangère; et que, dans cette persuasion, il espérait que M. Fouché n'hésiterait point
Plus tard on sut que M. le prince de Metternich avait fait une invitation
L'Empereur manda immédiatement M. Fouché, sous le prétexte de l'entretenir d'affaires d'état. M. Fouché garda le plus profond silence sur ce qui s'était passé avec l'envoyé de M. de Metternich, et ne laissa pénétrer aucun embarras, aucune inquiétude.
Jamais, je le répète, une pareille suite d'aberrations, d'ineptie et de combinaisons stupides n'est intervenue dans le destin d'une campagne et le sort d'une armée. Le plan ci-dessus développé pendant les opérations, je croyais fermement qu'Ibrahim-Pacha le suivrait, et j'en ai entretenu alors le prince de Metternich. L'armée égyptienne avait toujours sa retraite sur l'
Le prince de Metternich, quoique guidé par une politique timide et incertaine, juge cependant assez bien l'opinion de son pays et les intérêts de sa monarchie pour sentir que les
Voici maintenant les instructions écrites que le secrétaire aulique avait reçues de Metternich lui-même, s'il rencontrait aux Trois Rois une personne qui se dirait envoyée par le duc d'Otrante et le prouverait par une copie du même document ainsi conçu: «Le 9 avril 1815. Les puissances ne veulent pas de Napoléon Bonaparte. Elles lui feront une guerre
Près de Kaunitz et de Léopold, il y avait le jeune Metternich, la plus grande intelligence de l'époque, qui ne voulait pas qu'on nous fît la guerre et qui résumait sa politique dans cette image toute réaliste: «Laissez bouillir la révolution française dans sa marmite.» À ces ennemis extérieurs, qui n'avaient pas encore donné leur programme, il faut ajouter les ennemis intérieurs. Le roi d'abord.
C'était surtout l'empereur Nicolas qui pesait, comme un cauchemar, sur le prince de Metternich et l'empêchait souvent de régler sa conduite selon toute sa raison. Décidé
Nous allons lui voir d'autres préoccupations. Le 16 juillet, Metternich écrivait
Le 30 septembre, entre neuf et dix heures du matin, je reçus de M. de Metternich une lettre de cinq lignes, datée de la veille, et par laquelle il me proposait, en son nom seul, de venir
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