United States or Zambia ? Vote for the TOP Country of the Week !


Lors m'appella, et me fist les mains mectre Sur ung livre en me faisant promectre Que feroye loyaument mon devoir Des poins d'amours garder,

Nenny, ains dit par sa foy, qu'autres mains Seuffrent des maulx plus que moy, soirs et mains, Et qu'en ay mains Que je ne dy, ainsi mon fait repreuve, Bien lui plairoit qu'elle feust de moy veufve, Son cas le preuve; Ne suis je pas doncques en bonnes mains? Pour mectre, etc.

Et s'il vous plaist faire ainsi Que je dy, Ledit suppliant sera Allegié de son soussy; Et ennuy D'avec son cueur bannira; Et apres, tant que vivra, Priera Pour vous, sans mectre en oubly La grace qu'il recevra, Et aura, Par vostre bonne mercy.

Riens ne valent ses mirlifiques, Et ses menues oberliques; D'où venez vous? petit mercier, Gueres ne vault vostre mestier, Se me semble, ne voz pratiques. Chier les tenez comme reliques, Les voulez vous mectre en croniques, Vous n'y gangnerez ja denier. Riens ne valent, etc. Et ses menues, etc. D'où venez vous, etc.

Quand les Carafa, effrayés par la marche sur Rome du duc d'Albe, vice-roi de Naples, se hâtèrent de traiter avec Philippe II, elle écrivit doucement au duc de Palliano, l'aîné des neveux de Paul IV, que le Roi son mari, «a esté bien ayse de ce que Sa Saincteté s'est accommodée en ses affaires par l'accord qu'il a faict avec le Roy d'Espeigne, ayant (Henri II) mieulx aymé se mectre en poyne pour la (Sa Sainteté) mectre en repoz et tranquillité que d'en avoir usé aultrement» . Elle glissait sans dignité sur la défection, mais elle n'oubliait pas ses intérêts. Elle recommandait au Duc les procès qu'elle avait engagés en Cour de Rome contre sa belle-sœur, Marguerite d'Autriche,

Pour mectre

Amour aussi est de leur aliance, Nul ne tendroit contre telle puissance. Il lui convient ou mourir ou se rendre, Trop grant honte lui seroit de fuir; Plus baudement les oseroit actendre, S'il eust pavais dont il se peust couvrir; Mais point n'en a, si lui vault mieux souffrir, Et se mectre tout en leur gouvernance, Nul ne tendroit contre telle puissance.

Car se je suis en ma partie, Et oultre la mer franchement, Dieu mercy, point ne me soussie Que n'aye des biens largement; Et desserviray loyaument A ceulx qui m'ont, de bon couraige, Aidié, sans faillir nullement, Pour mectre corps et ame en gaige.

Dont ensiues grant querelle; Moy et elle, Advint qu'en une chappelle Nous nous trouvasmes tous deux, Et je lui dis: Bonne et belle, Ne me soiez si cruelle, Puisque nous sommes tous seulz. Dictes moy vostre vouloir, Ne me vueillez decevoir, Ne mectre

Pour mectre