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Mis à jour: 24 mai 2025
»Matthews était, en effet, un homme extraordinaire; jamais un étranger n'aurait pu concevoir un tel génie; le cachet de l'immortalité était empreint sur tout ce qu'il disait, sur tout ce qu'il faisait: et maintenant que reste-t-il de lui? Quand nous voyons de ces hommes disparaître, de ces hommes qui semblaient avoir été créés pour montrer tout ce que le créateur pourrait faire de ses créatures; quand nous les voyons réduits en poussière avant que le tems n'ait mûri leur génie qui eût pu être l'orgueil de la postérité, que devons-nous en conclure? Pour ma part, ma raison s'y perd. Il était beaucoup pour moi, il était tout pour Hobhouse. Mon pauvre Hobhouse idolâtrait Matthews. Moi je l'aimais moitié moins que je ne le respectais; j'étais tellement convaincu de sa supériorité infinie, que quoique je ne lui portasse pas envie, je restais devant lui dans une sorte d'admiration stupéfaite. Lui, Hobhouse, Davis et moi nous formions un petit cercle
»J'ai trouvé Anastasius excellent: ne l'ai-je pas dit? le journal de Matthews excellentissime; cela, et Forsyth, et des morceaux de Hobhouse, voil
Dès la page suivante, nous l'entendons se plaindre de ce que le vers de M. Dobson n'a point la «clarté condensée» et la «vigueur incisive» de celui de M. Locker. M. Matthews devait s'en tenir
D'autre part, nous sommes réellement tenus de protester contre les efforts de M. Matthews pour confondre la poésie de Piccadilly avec la poésie du Parnasse. Nous dire, par exemple que le vers de M. Dobson «n'a point la clarté condensée, ni la vigueur incisive de M. Locker» est vraiment trop mauvais, même pour de la critique transatlantique.
»Vous partagerez la douleur de ce pauvre Hobhouse: Matthews était le dieu de son idolâtrie; et si l'intelligence peut élever un homme au-dessus de ses semblables, nul ne pouvait lui refuser cette prééminence. Je le connaissais très-intimement, et l'estimais en proportion; mais je retombe encore... Allons, parlons de la vie et des vivans.
Mais M. Matthews ne s'effraye de rien et s'évertue
Nous ne trouvons point mauvais que M. Matthews compare M. Locker et M. Du Maurier, M. Dobson ou M. Randolph Caldecott, et M. Edwin Abbey. Ces sortes de comparaisons, si elles sont très sottes, ne font aucun mal. En fait, elles ne signifient rien, et selon toute apparence, on ne veut pas qu'elles aient une portée.
Les murs de Thèbes s'élevèrent au son de la musique, et Thèbes fut une cité vraiment bien sotte. Essais, par M. Brander Matthews . Pall Mall Gazette, 27 février 1889,
Telle est la règle d'or formulée pour servir de guide aux auteurs par M. Brander Matthews dans un amusant essai sur l'art d'écrire une préface et mettant sa théorie en pratique, il annonce son volume comme «le plus intéressant et le plus instinctif de la décade.» Amusant, il l'est certainement par endroits. L'Essai sur le poker, par exemple, est écrit avec beaucoup de verve et d'agrément.
Newstead-Abbey, 27 août 1811. «J'étais si sincère dans ma note sur feu Charles Matthews, et je me sens si totalement incapable de rendre justice
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