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Mis à jour: 25 juin 2025
»Matthews était, en effet, un homme extraordinaire; jamais un étranger n'aurait pu concevoir un tel génie; le cachet de l'immortalité était empreint sur tout ce qu'il disait, sur tout ce qu'il faisait: et maintenant que reste-t-il de lui? Quand nous voyons de ces hommes disparaître, de ces hommes qui semblaient avoir été créés pour montrer tout ce que le créateur pourrait faire de ses créatures; quand nous les voyons réduits en poussière avant que le tems n'ait mûri leur génie qui eût pu être l'orgueil de la postérité, que devons-nous en conclure? Pour ma part, ma raison s'y perd. Il était beaucoup pour moi, il était tout pour Hobhouse. Mon pauvre Hobhouse idolâtrait Matthews. Moi je l'aimais moitié moins que je ne le respectais; j'étais tellement convaincu de sa supériorité infinie, que quoique je ne lui portasse pas envie, je restais devant lui dans une sorte d'admiration stupéfaite. Lui, Hobhouse, Davis et moi nous formions un petit cercle
Je ne t'estimais plus, je ne te respectais plus; mais je t'aimais encore, du moins je te plaignais; et, puisqu'il me fallait mourir, je n'eusse pas voulu t'entraîner avec moi dans la tombe. Aujourd'hui est bien différent d'hier; aujourd'hui je te hais et je te méprise, tu sais pourquoi. Allah me commande de te punir, et tu seras puni sans que je te plaigne.
» Isabelle est ici? m'écriais-je avec une sorte de certitude. »On me regardait. Ma physionomie traduisait une angoisse que mes amis traduisaient en jalousie. Jaloux, moi! Ah! j'y songeais bien! La pensée d'une faute de mon Isabelle n'avait même pas effleuré mon esprit. Je la respectais, je la vénérais, en un mot, je l'aimais; donc, je croyais en elle.
Après tout, je comprenais ses craintes d'homme libre et jaloux de sa liberté; je respectais ses terreurs de la terre française, car c'est une terre française que le pont d'un navire de guerre;
CADIO. C'est la première fois de ma vie que j'ai connu la colère; mais la colère n'est pas la fureur, qui est la folie. La colère est une bonne chose, c'est une clarté qui se fait dans l'esprit. On dit que Dieu a tiré l'homme d'un peu de boue. Les moines m'avaient appris cela; je me sentais avili dans ma chair et dans mon âme par cette croyance triste et basse. Je l'avais gardée pourtant! Vivant en plein air et dormant sans abri, je me demandais souvent: «Quelle différence y a-t-il entre toi et l'épine ou le caillou?» Je ne m'aimais pas, je ne me respectais pas. Si je ne faisais pas le mal, c'est que je ne savais pas le faire. J'ai commencé
»Jamais je n'oublierai une scène navrante qui un jour eut lieu entre ces deux êtres que je chérissais et que je respectais plus que tout au monde! »Ma mère reçut un jour un colis venant de l'extrême Orient. C'était une caisse couverte de signes bizarres. Mon père la fit transporter dans la salle commune, la porte de son cabinet étant trop étroite pour qu'elle pût y être introduite.
On vous a dit que j’étais coureur: c’est faux. Je respectais trop l’amour pour fréquenter les arrière-boutiques, et je n’ai presque jamais possédé une femme que je n’eusse aimée passionnément. Si je vous nommais celles-l
Ordener acheva la pensée qu'Athanase Munder n'osait compléter. Je ne puis aujourd'hui obtenir aucune grâce, pas même la mienne; vous avez raison, seigneur ministre. Je respectais trop peu l'avenir; il m'en a puni, en me montrant sa puissance supérieure
Il est mort: c'est peu de chose, qui est-ce qui ne meurt pas? mais il a été constamment malheureux et triste; jamais l'existence ne lui a été bonne; il n'a encore eu que des douleurs, et maintenant il n'a plus rien. Je l'ai vu, je l'ai plaint: je le respectais, il était malheureux et bon.
Maîtresse Gilles, dit-elle, apprenez que le malheur n'a frappé chez vous qu'une seule personne, et cette personne, c'est moi! Si je ne respectais votre mari, si je ne... pardonnais
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