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Mis à jour: 3 mai 2025
Nous ne trouvons point mauvais que M. Matthews compare M. Locker et M. Du Maurier, M. Dobson ou M. Randolph Caldecott, et M. Edwin Abbey. Ces sortes de comparaisons, si elles sont très sottes, ne font aucun mal. En fait, elles ne signifient rien, et selon toute apparence, on ne veut pas qu'elles aient une portée.
Pour peu qu'on se pique de se connaître en littérature on se gardera de rapprocher ces deux noms. M. Locker a écrit quelques agréables vers de société, quelques bagatelles rimées
Dès la page suivante, nous l'entendons se plaindre de ce que le vers de M. Dobson n'a point la «clarté condensée» et la «vigueur incisive» de celui de M. Locker. M. Matthews devait s'en tenir
D'autre part, nous sommes réellement tenus de protester contre les efforts de M. Matthews pour confondre la poésie de Piccadilly avec la poésie du Parnasse. Nous dire, par exemple que le vers de M. Dobson «n'a point la clarté condensée, ni la vigueur incisive de M. Locker» est vraiment trop mauvais, même pour de la critique transatlantique.
Comme il doit rougir en lisant ce panégyrique pesant! Il faut dire que M. Matthews lui-même a du moins un accès de remords d'avoir tenté de mettre l'œuvre de M. Locker
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