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Mis à jour: 1 mai 2025
Il faut que le capitaine Marion soit étrangement aveuglé par l'amitié pour ne pas s'apercevoir que son compagnon est dévoré d'une haineuse envie, pensai-je
Jamais! s'écria Marion en prenant cordialement la main d'Eustache, jamais; car, aussi vrai que l'épée que tu portes est la dernière arme que j'ai forgée, pour t'en faire un don d'amitié, ainsi que cela est gravé sur la lame, tu as toujours,
C'est son écriture! s'écria le roi. Et il tira vivement la lettre des mains de Marion. Puis se tournant et la retournant: Elle n'est pas décachetée, dit-il. Elle vient de quelqu'un qui approche le roi, et sachant que j'aurais peut-être le suprême honneur de voir le roi aujourd'hui, je me suis fait un devoir de rendre
À force de retourner mon bagage, la Marion finit par découvrir une figure d'académie qui m'avait servi
Non! non! ta céleste commisération rend le crime plus horrible encore... Pas de pitié pour le monstre qui a tué son ami... un ami tel que toi! Va-t'en! murmura Marion en sanglotant; c'est toi qui rends mes derniers moments affreux! Eustache n'a tué que mon corps... toi, sans pitié pour mon agonie, tu tortures mon âme. Va-t'en!...
Depuis mon acclamation comme chef de la Gaule... et général (ah! combien j'avais donc raison... de refuser cette peste, d'élévation... c'était sûrement un pressentiment...) mon ami Eustache était devenu encore plus hargneux, plus bourru... que d'habitude... il craignait, la pauvre âme... que mon élévation ne me rendît fier... Moi, fier... Puis, s'interrompant encore, Marion ajouta en agitant ç
Victoria l'a dit, reprit Marion, le temps de la guerre est fini, le temps de la paix est venu; en temps de guerre, il faut des hommes de guerre... en temps de paix, des hommes de paix... Vous êtes de ceux-l
Ami Eustache, dit Marion en se dirigeant vers la maison, veux- tu rester ici, ou aller m'attendre chez nous? Je t'attendrai ici
Mademoiselle Louise me dit: «Et Marion, madame, n'en fait pas moins bien le ménage et la bonne soupe que j'ai mangée hier.»
À cet appel, le compagnon du capitaine Marion s'approcha lentement, les bras toujours croisés sur sa poitrine. C'était un homme de stature moyenne et vigoureuse; sa barbe et ses cheveux d'un blond pâle, son teint bilieux, sa physionomie dure et morose, offraient un contraste frappant avec l'extérieur avenant du capitaine Marion.
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