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«Ils disaient que l'auteur de l'Ancien Testament était un menteur, parce qu'il est dit dans la Genèse: «En quelque jour que vous mangiez de l'arbre de la science du bien et du mal, vous mourrez de mort»; et pourtant, disaient-ils, après en avoir mangé, ils ne sont pas morts. Ils le traitaient aussi d'homicide, pour avoir réduit en cendres ceux de Sodome et de Gomorrhe, et détruit le monde par les eaux du déluge, pour avoir enseveli sous la mer Pharaon et les

«Ils disaient que l'auteur de l'Ancien Testament était un menteur, parce qu'il est dit dans la Genèse: «En quelque jour que vous mangiez de l'arbre de la science du bien et du mal, vous mourrez de mortet pourtant, disaient-ils, après en avoir mangé, ils ne sont pas morts. Ils le traitaient aussi d'homicide, pour avoir réduit en cendres ceux de Sodome et de Gomorrhe, et détruit le monde par les eaux du déluge, pour avoir enseveli sous la mer Pharaon et les

Votre saint oncle entend que vous les mangiez pendant votre convalescence. Je déteste les confitures. Je vous assure que je n'y toucherai pas, et que, si vous ne les voulez prendre, elles seront perdues. Perdues! mon cher coeur, perdues! Jésus! perdre de si bonnes choses, et qui auront coûté si cherIci la voix du jardinier se fit entendre de nouveau: Marinero del onda, Ayolé!

Et le jour vous m'avez apporté des cerises... Je nous vois encore, moi contre mes oreillers, vous assise au bord du lit, avec les cerises entre nous deux, dans un grand papier blanc. Je n'avais pas voulu y toucher, si vous n'en mangiez pas avec moi... Alors, chacun son tour, nous en avons pris une; et le papier s'est vidé, et elles étaient très bonnes.

Vous êtes souffrant, monsieur Cornélius? demanda-t-elle. Oui, mademoiselle, répondit Cornélius, souffrant d'esprit et de corps. J'ai vu, monsieur, que vous ne mangiez plus, dit Rosa; mon père m'a dit que vous ne vous leviez plus; alors je vous ai écrit pour vous tranquilliser sur le sort du précieux objet de vos inquiétudes. Et moi, dit Cornélius, je vous ai répondu. Je croyais, en vous voyant revenir, chère Rosa, que vous aviez reçu ma lettre. C'est vrai, je l'ai reçue. Vous ne donnerez pas pour excuse, cette fois, que vous ne savez pas lire. Non seulement vous lisez couramment, mais encore vous avez énormément profité sous le rapport de l'écriture. En effet, j'ai non seulement reçu, mais lu votre billet. C'est pour cela que je suis venue pour voir s'il n'y aurait pas quelque moyen de vous rendre

Dix jours! m'écriai je, et que mangiez vous? Eh bien, je mangeais le cheval. Il fut pour moi ce que vous appelez la table et le logement. Mais naturellement j

Oui, mademoiselle, répondit Cornélius, souffrant d'esprit et de corps. J'ai vu, monsieur, que vous ne mangiez plus, dit Rosa; mon père m'a dit que vous ne vous leviez plus; alors je vous ai écrit pour vous tranquilliser sur le sort du précieux objet de vos inquiétudes. Et moi, dit Cornélius, je vous ai répondu. Je croyais, vous voyant revenir, chère Rosa, que vous aviez reçu ma lettre.

Mais nous ne croyons pas que vous exagérez, nous voulons seulement que vous mangiez, et que mon mari mange aussi; redonnez de la sole normande

Cette déférence du roi et des anciens pour nous, pour un blanc en général, se révèle dans cette coutume qui veut que le chef du village, dans lequel vous arrivez, vous apporte un cadeau quelconque: un animal, des aliments, et dans ce dernier cas, il se croit obligé d'en goûter devant vous avant que vous en mangiez. Si c'est du liquide, de l'eau, du vin de palme, il en verse quelques gouttes