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Mis à jour: 25 juin 2025
Le prince de Listhnay, rue du Bac, n° 110. Un prince! monsieur, un prince? Oui, un Espagnol, je crois, qui est en correspondance avec le Mercure de Madrid, et qui lui envoie toutes les nouvelles de Paris. Mais, c'est une trouvaille, cela, monsieur! Une véritable trouvaille, vous l'avez dit, qui vous donnera un peu de mal, c'est vrai, car toutes ses dépêches sont en espagnol.
À Madrid, il n'était besoin d'envoyer personne. Le duc d'Havré, depuis deux ans, y défendait les intérêts des princes, secondé par le duc de La Vauguyon, naguère encore ambassadeur de Louis XVI et resté en Espagne bien qu'il eût quitté l'ambassade avant la mort du roi. D'Havré était une assez pauvre tête. Ses dépêches sont des chefs-d'oeuvre de candeur, de sottise et de crédulité. Néanmoins, il avait su plaire
Le prince parut entouré d'un brillant état-major; venait ensuite une division de cavalerie et de l'artillerie. Les Espagnols furent émerveillés de la belle tenue de ces troupes. Après l'entrée du prince, les habitans de Madrid eurent aussi le spectacle d'un passage non interrompu de trois divisions d'infanterie de ligne et sept
Autre point, un peu ridicule. On sut qu'aux trois péchés il s'en joignait un quatrième. On sut ce que cachait ce royal sanctuaire de dévotion, cette chambre renfermée et obscure, si bien gardée par la nourrice. L'odeur en est dans Saint-Simon, qui tire par respect le rideau. La vie que les princes italiens, les Médicis et les Farnèse étalaient si naïvement, la Farnésine de Madrid, avec plus de décence, en faisait un moyen de gouvernement intime. On a vu qu'
«Comme M. de Talaru revient de Madrid par congé, on parle de lui pour la place vacante; je n'en suis pas persuadé. Ce qui me paraît le plus probable, c'est que d'ici
Je suis parti de Madrid le 23 sans avoir reçu aucune réponse aux lettres que j'ai écrites depuis 3 mois
Madrid, 16 novembre 1810. Ma chère amie, je reçois tes lettres des 22, 23 et 24, ma position est toujours la même, je suis ici bientôt un être parfaitement inutile; tous les généraux correspondent avec le major-général, prince de Neufchâtel. Les habitants s'exaspèrent tous les jours davantage, le peu de succès que j'avais obtenu est effacé tous les jours. L'empereur ne me répond pas, il ne me reste donc qu'
Madame la duchesse d'Orléans m'en parla avec amertume; elle se trouvait également blessée comme napolitaine et comme française. Je me rappelle qu'elle me dit que cette mesure, si hostile aux autres branches de la maison de Bourbon, avait été regardée comme une offense tellement personnelle par le roi de Naples, son frère, qu'elle avait décidé son départ de Madrid dans les vingt-quatre heures. Cette circonstance m'a toujours fait douter que la reine Christine eût été pour quelque chose dans cette première décision du roi Ferdinand. La mesure, comme tout le monde sait, avait été déj
Nous ne perdîmes pas un mot de tout ce qui lui fut dit dans cette occasion; le prince de la Paix écoutait avec nous. Le roi Charles IV lui demanda d'un ton sévère: «As-tu des nouvelles de Madrid?» (Nous n'entendîmes pas la réponse du prince.) Mais le roi repartit vivement: «Eh bien! je vais t'en donner, moi»; et il lui raconta ce qui s'y était passé. «Crois-tu, lui dit-il, me persuader que tu n'as eu aucune part
De ce portrait, la partie supérieure seule est terminée; le reste n'a pas été achevé, probablement par suite de la disparition du personnage qui, après la disgrâce de son père, alla sans doute cacher loin de Madrid son désespoir et sa misère.
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