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Mis à jour: 9 octobre 2025


» A rougir!... Ah! monsieur, avez-vous pensé que jamais... Oh! non pas vous, madame, je vous crois trop indulgente pour cela, mais dans le monde on ne l'est pas, et en vérité je méritais bien que l'on s'étonnât de m'y rencontrer

Un jour, mon maître me fit un compliment que je ne méritais pas.

C'est ma faute, lui dis-je si, tous deux, nous avons tant souffert. J'ai été surpris par la douleur, j'ai manqué de foi et de force. J'aurais trouver des paroles et des caresses pour te détromper et te rassurer, des formules sacrées pour chasser ton démon. J'étais fatigué et malade; et puis j'avais en moi-même, dans ce triste lieu, des pensées sinistres et lâches. J'avais boudé la providence comme un sot enfant boude sa mère. Je m'étais révolté contre les heures qui ne marchaient pas assez vite; j'avais été fou! Je méritais donc une punition et je l'ai subie. A présent je n'en crains plus d'autre, je n'en mériterai plus. Notre amour nous sanctifiera et chassera le mauvais esprit qui rôde autour des coeurs heureux. Nous ferons de notre passion une religion et une vertu. N'est-ce pas déj

Je me levai, et je lui adressai une profonde révérence: elle y répondit par une inclination qui, bien que légère, était encore plus que je ne méritais de sa part. Les premiers pas qu'elle fit dans le salon, après m'avoir aperçu, étaient marqués d'une sorte d'hésitation et pour ainsi dire de flottement: c'était l'allure d'une perdrix légèrement touchée dans l'aile et un peu étourdie du coup. Irait-elle au piano,

Vous ne l'aimez plus, enfin? dit Berthe. Non, car, en admettent même que j'eusse été aussi insensé que je le paraissais, je méritais au moins quelque pitié, quelque intérêt... et ma femme ne m'en témoignait aucun. Profitant de la solitude je vivais (nous habitions alors une grande ville), elle courait les fêtes et s'informait

» Ah! sapristoche! m'écriai-je. » Qu'as-tu? me demanda mon hôte. » Mais, mon vieux, ta femme est une beauté! »J'entends encore mon ancien camarade ricaner, d'un air fat: » Croyais-tu, me dit-il, que j'avais épousé un laideron? » C'est bien pourtant ce que tu méritais!... » Je vous ai dit que ce Gaudrées était laid et bête. Répondez-moi: croyez-vous que de tels hommes puissent être aimés?

Je réfléchis maintenant, ce que je n'étais pas en état de faire alors, que dans toutes les occasions nous avons besoin de secours extraordinaires pour régler notre conduite, si nous les demandons avec force, dussions-nous n'être pas exaucés, au moins, en nous recueillant pour les recevoir, nous nous mettons dans le cas d'user de toutes les ressources de notre propre prudence. Je méritais d'être abandonné

Dites plutôt que vous avez peur encore?... une peur irraisonnée, enfantine. Irène rougit un peu. Oui, c'est vrai, murmura-t-elle. Quelle folie, Irène!... Il m'a chargée de vous dire tous ses regrets, et son désir qu'il ne soit plus question, entre vous et lui, de ce qui s'est passé... Oh! je l'ai bien grondé, je vous assure, pour vous avoir si peu ménagée! Je le méritais, dit franchement Irène.

Pardonne, ô mon unique consolation! mon amie, mon refuge, pardonne, si j'ai pu douter de ta tendresse! Je t'ai jugée, non sur ce que tu es, mais sur ce que je méritais; je te trouvais juste dans ta sévérité, comme tu me parais

Et merci, mon cher oncle, merci pour tout! Vous m'avez donné plus de joie que je n'en méritais. Maintenant, je vous embrasse en pleurant... Adieu! adieu! Valère Bouldouyr pleurait aussi; je lui rendis la lettre. Françoise ne soufflait mot de son mariage avec Victor Agniel: je jugeai prudent de n'en pas avertir le pauvre homme. Avez-vous remarqué? fit-il. Lucien n'est même pas nommé!

Mot du Jour

tieni

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