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Vous m'avez connue fière de ma propre conscience, je n'ai jamais cru pouvoir l'être d'autre chose; mais, ici, ma conscience m'ordonne de fléchir, et, s'il fallait assumer sur moi toutes les humiliations, toutes les agonies, je le ferais avec plaisir, certaine de ne point perdre votre estime pour ce dévouement de femme qu'un homme comprend toujours et ne méprise jamais.

Il avait dit: Je vote pour la prison perpétuelle, parce que ma profession de médecin m'ordonne de combattre la mort, sous quelque aspect qu'elle se présente. Quelques voix même avaient applaudi. Cet homme s'asseyait sur les mêmes bancs que la Gironde. On s'était demandé quel était cet homme, et l'on avait appris que c'était un médecin nommé Jacques Mérey, envoyé par la ville de Châteauroux.

Mon père, vous ne le connaissez pas. Dieu seul pourrait le fléchir.... Alors, dites, c'est fini? Si mon père m'ordonne d'épouser Claire de Voincourt, faut-il donc que je lui obéisse?

«Je défendrai dans tous mes votes: «La liberté des pères de famille; «L'égalité de tous les citoyens dans la protection qu'ils ont le droit de demander aux lois; «La fraternité qui ne traite pas en suspects les frères des écoles et les soeurs des hôpitaux; «La franchise m'ordonne de vous déclarer mes opinions politiques et religieuses: «J'estime qu'un peuple sans religion est un peuple sauvage;

Ha! de tous les malheurs dont je ressens les coups, Voila le plus sensible, & plus rude de tous! Quoy? quand tout m'est fatal, lors que tout m'abandonne, Pamphilie elle mesme aujourd'huy me soupçonne? Non non, Madame, non, ne me soupçonnez pas, D'avoir voulu trahir mes voeux, ny vos appas; Ce change malheureux que mon pere m'ordonne, Regarde nos autels, & non vostre personne; Il ne m'empesche pas que j'adore vos yeux, Mais il veut pour le sien que je quitte nos Dieux, Et que suivant l'abus de son erreur extréme, Contre mes sentimens je le suive au baptéme. Mais plutot que je change ou d'amour, ou de loy, Plutost que je viole ou mes voeux, ou ma foy, Que ces puissantes mains qui gouvernent la foudre, D'un rouge traict de feu me reduisent en poudre. Puissé-je estre des Dieux, & des hommes l'horreur, De tous les elemens esprouver la fureur, Et si jusqu'

Madonna! moi, je voudrais bien être quelqu'un: je partirais aussi avec vous. Viens, Michele! viens! s'écria Luisa, qui voyait dans Michele un ami auquel elle pourrait parler de Salvato. Par malheur, c'est impossible, petite soeur; chacun a son devoir. Le tien veut que tu partes, et le mien m'ordonne de rester.

Tiens, lis les deux seules lignes que Thérèse m'écrit: «Respectez vos jours, je vous le commande au nom de nos malheurs. Nous ne sommes pas seuls malheureux... Je vous enverrai mon portrait aussitôt que je le pourrai. Mon père vous plaint, mais, en pleurant, m'ordonne de ne plus vous écrire.

LA COMTESSE, tremblante. Je crois entendre Dieu qui parle! il m'ordonne de l'oublier; de déchirer le crêpe obscur dont sa mort a couvert ma vie. Oui, mon Dieu! je vais obéir

Recevez, prince, etc., etc. Paris, le 23 mars 1808. Prince, j'ai reçu vos lettres du 14; je les ai mises sous les yeux de l'empereur, qui m'ordonne de vous expédier un courrier extraordinaire pour vous faire connaître ses intentions.

L'empereur, M. le général Legrand, m'ordonne de vous faire connaître que son intention est que vous pressiez l'entier paiement, non-seulement de la contribution frappée sur le pays de Bayreuth, mais encore ce que le pays doit sur les revenus. Prenez telles mesures que vous jugerez nécessaires, et mettez-moi