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Mis à jour: 2 juin 2025
Ce ne sera pas vous offenser, ma belle dame, que de vous plaindre. Ma conduite, depuis que je suis chez vous, a dû vous faire comprendre que je ne suis pas venu sans dessein. Ce dessein est de vous plaire; je vous aime, je désire que vous m'aimiez. Si je vous conviens, arrangeons-nous. Vengez-vous du maroufle qui vous tyrannise; je vous offre des consolations, des secours, des plaisirs, un coeur dont les sentiments seront prouvés avec force... Votre réponse, belle baronne, décidera de mon sort. L'état où vous gémissez doit vous ôter une indécision qui nous nuirait
Pourtant on avait attaqué le "trois". Monsieur Lacrisse, vous n'êtes pas en place. Joseph Lacrisse n'était pas en place. Et il convient de dire que ce n'était pas de sa faute. Madame de Bonmont l'attirait sans cesse dans les petits coins et lui murmurait: Dites-moi que vous m'aimez toujours. Si vous ne m'aimiez plus, je sens que j'en mourrais. Elle lui demandait aussi des nouvelles du complot.
Je sais ce que fais, et j'obtiens toujours ce que je veux. Toujours? Oui, toujours, et, bien que vous ne m'aimiez pas, je vous aurai. La froide ténacité de cet homme effrayait Marguerite. Qui êtes-vous donc, dit-elle, pour parler ainsi? Qui je suis? votre futur mari. A quand notre mariage? demanda-t-elle ironiquement. A bientôt, mademoiselle.
«J'avais perdu toute espérance, ma chère grand'mère; je croyais que vous ne vous souveniez plus de moi, et que vous ne m'aimiez plus. Votre lettre si bonne est venue très
Ils ne sont plus, ces jours délicieux Où mon amour respectueux et tendre À votre coeur savoit se faire entendre; Où vous m'aimiez, où nous étions heureux! Vous adorer, vous le dire et vous plaire, Sur vos désirs régler tous mes désirs, C'étoit mon sort, j'y bornois mes plaisirs; Aimé de vous, quels voeux pouvois-je faire? Tout est changé; quand je suis près de vous, Triste et sans voix, vous n'avez rien
«Vous connoissez assez mes principes, mon cher Frédéric, pour juger de ce que je souffre loin de vous, et combien il m'en coûte pour vivre près de celui que je déteste. Je ne peux supporter ses caresses. Si vous m'aimiez comme je vous aime, vous trouveriez bien les moyens de m'arracher
Non, vous ne m'aimez pas! reprit Agathe, en s'arrachant des étreintes de sa soeur. Si vous m'aimiez, vous prendriez pitié de mon désespoir! vous renonceriez
Il avait l'air si ahuri que Séléna ne put s'empêcher de rire et, lui prenant les mains, lui dit tendrement: Mon pauvre Gontran, faut-il que vous m'aimiez, tout de même, pour que vous résistiez
LE COMTE, vivement. Que votre Tuteur vous a remise? ROSINE, fièrement. Oui, je lui en ai l'obligation. Dieux, que je suis heureux! Il la tient de moi. Dans mon embarras, hier, je m'en suis servi pour arracher sa confiance, et je n'ai pu trouver l'instant de vous en informer. Ah, Rosine! il est donc vrai que vous m'aimiez véritablement!...
Philippe, que ne vous ai-je aimé quand vous m'aimiez! la possession ne m'eût pas permis d'atteindre au délire d'amour où j'ai été, et vous ne seriez pas devenu l'âme de ma vie comme vous l'êtes... La réalité aurait tué l'exaltation du rêve, tandis que mon rêve demeure, en dépit de mes efforts pour l'anéantir.
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