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Mis à jour: 2 juin 2025
Je ne veux pas dire que vous ne soyez plus gentille, mais que vous auriez dû rester petite. Vous m'aimiez tant dans ce temps-l
Vous me demandez tous les jours pourquoi je suis triste, vous vous inquiétez de ma santé; vous ne comprenez donc pas que je ne suis pas votre frère et que je ne peux pas l'être? Vous ne voyez pas que je bois le poison par tous les pores, et que votre amitié me tue? Que vous ai-je fait pour que vous m'aimiez avec cette tendresse et cette douceur impitoyables? Chassez-moi, maltraitez-moi, ou parlez-moi comme
Bous me semblez la velle Benus. Et vous me semblez son petit Adonis bien plus doüillet et coffeté qu'il n'estoit, mais bien moins amoureux que luy, qu'en est-il? dois-ie croire que vous m'aimiez, et que les demonstrations que vous en faites soient
Marcelle écrivit ce peu de lignes avec exaltation. Seulement, lorsque sa plume traça cette phrase: «A moins que vous ne m'aimiez plus dans un an,» un imperceptible sourire donna
Raoul essaya de sourire. Non, dit la jeune fille avec une conviction profonde, non, vous ne me ferez pas cette injure de vous dissimuler devant moi. Vous m'aimiez, vous; vous étiez sûr de m'aimer; vous ne vous trompiez pas vous-même, vous ne mentiez pas
Ce refus de tutoiement, cette façon brusque de briser un lien si tendre, et sur lequel il comptait encore, portèrent jusqu'au délire le transport d'amour de Julien. Quoi! est-il possible que vous ne m'aimiez plus! lui dit-il avec un de ces accents du coeur, si difficiles
Apprenez donc que, dès ce jour, nos fiançailles sont rompues. HENRI. Nos fiançailles? Ah! Louise!... Mais tu ne m'as jamais aimé, tu ne m'aimes pas? LOUISE. Si je vous aimais, que feriez-vous? HENRI, éperdu. Si vous m'aimiez, je me brûlerais la cervelle! LOUISE. Le suicide est une lâcheté. Vous l'avez dit, il faut choisir entre le bien et le mal, entre l'amour et la haine.
Tandis que, vous le voyez bien, je ne veux pas même de la douce compensation de votre amour, de votre amour qui est ma vie, cependant, puisque j'ai voulu mourir, croyant que vous ne m'aimiez plus.
Adieu, mon oncle chéri! Adieu, famille maternelle, qui disparaissez ainsi que l'autre partie de ma famille! {p.187} Adieu, ma cousine de jadis, qui m'aimez toujours comme vous m'aimiez lorsque nous écoutions ensemble la complainte de notre bonne tante de Boisteilleul sur l'
«Je suis si contente que vous m'aimiez, dit Dora quand nous eûmes fini de prendre le thé! Je n'en étais pas sûre, et maintenant que Julia Mills est partie, j'ai encore plus besoin qu'on m'aime.»
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