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Mis à jour: 20 juin 2025


«Votre humble et obéissant serviteur, A peine Blaise avait-il fini et lu tout haut sa lettre, qu'un domestique entra chez Anfry. «Mme la comtesse demande Blaise. Moi? Mme la comtesse me demande? répéta Blaise fort étonné. Oui, oui, et tout de suite encore. «Allez me chercher Blaise, m'a-t-elle dit, et amenez-le-moi le plus vite possibleQu'est-ce que cela veut dire? dit Anfry avec inquiétude.

Elle ne me répondit pas; inquiet de ce silence, j'ouvris la porte: je vis Elwig assise sur le bord de sa couche, son front entre ses mains. À mon aspect, elle jeta sur moi un regard farouche et resta muette. Je lui demandai: Le sommeil t'a-t-il calmée? Il n'est plus de sommeil pour moi... m'a-t-elle brusquement répondu. Riowag est mort!...

Je suis votre femme, Monsieur, m'a-t-elle dit, c'est mal de me traiter toujours comme une petite fille. Mais grand Dieu! comment vais-je faire pour attendre? Je grille déj

Vous rappelez-vous ce que je vous ai dit hier soir, m'a-t-elle demandé quand j'ai eu fini mon récit? Hier soir, dans la voiture qui m'a amenée ici? Vous m'avez dit que nous causerions de tout cela aujourd'hui, et je vous ai répondu qu'il serait trop tard. Eh! bien, s'il est trop tard, Hélène, n'en parlons pas.

«Belle Meunière, m'a-t-elle dit, il faut encore que vous me rendiez un service... Cette lettre doit partir de suite, et il faut que vous la portiez vous-même

L'officier continua avec gaieté: D'ailleurs, est-ce que je sais ce que c'est que d'être amoureux? diable l'aurais-je appris? La guerre m'a-t-elle jamais laissé le loisir de m'amuser

J'ai couvert de baisers ses mains tremblantes, son front glacé, ses cheveux humides... J'ai répandu dans sa pauvre âme brisée tout ce que l'âme d'un homme peut contenir de tendresse, de pitié, d'adoration! Elle a su que je l'aimais; elle n'a pu en douter! Elle m'a écouté avec ravissement. C'est maintenant, m'a-t-elle dit, c'est maintenant qu'il ne faut pas me plaindre.

Autres images. Trois années se sont écoulées depuis le soir d'automne une voiture de place nous a déposés, mon beau-père et moi, dans ce coin d'une des avenues du vieux Versailles qu'attriste la muraille du collège. Je devais passer dans ce collège dix mois seulement, ceux que ma mère passerait, elle, en Italie. Oui, c'était un soir de l'automne de 1866, nous voici dans l'hiver de 1870, et je suis demeuré interne dans ce lycée « l'air est si bon, je travaille si bien», ce sont les raisons que ma mère a données pour ne pas me reprendre chez elle; et la naïve femme est de bonne foi en répétant les phrases de M. Termonde. D'ailleurs ne m'a-t-elle pas consulté? N'ai-je pas répondu, moi aussi, que je préférais l'internat? Une expérience de quelques semaines de vacances, au retour de leur voyage, m'a démontré que mon cœur saignerait trop,

«Rapprocher ce nom, qui rappelle une idée pleine de grâce, de ce sobriquet, ironique symbole de ma difformité! Pauvre Agricol... pauvre frère... Dis! la bonté est donc quelquefois aussi impitoyablement aveugle que la méchanceté!... «Moi, haïr cette jeune fille!... Et pourquoi? M'a-t-elle dérobé la beauté qui séduit Agricol? Puis-je lui en vouloir d'être belle?

A quoi bon? m'a-t-elle dit. Je ne suis pas malade. Ce qui me tue, ce n'est pas la fièvre; ce n'est pas le froid, c'est la pensée qui me brûle l

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trimmel

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