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Mis à jour: 27 juin 2025
Balmain enregistre, dans le même ordre d'exagérations, un mot de Lowe qui peint l'homme. «Le docteur O'Meara, dit le gouverneur, a commis des fautes impardonnables. Il a répété aux gens de l
Mais, dans l'intervalle, beaucoup d'incidents étaient survenus. Lowe avait reçu l'ordre de réduire
Il y avait l'inévitable question d'argent: l'argent toujours offert et toujours refusé, et toujours aussi le résultat final qui reste dans l'ombre. Gourgaud va donc se rendre au milieu des Gentils; il réside chez Jackson; il dîne avec Lowe et les commissaires, se plaint de Napoléon, fait des révélations grotesques, en un mot, «charge» son personnage.
Outre le jardinage, l'équitation, la lecture et la dictée, Napoléon avait encore quelques distractions. A un certain moment, il lui prit fantaisie d'acheter des agneaux et de les apprivoiser. On jouait le polo dans l'île, mais il n'y prit aucune part. De chasse proprement dite, il n'y en avait point, sinon difficile et de pauvre qualité. Gourgaud, qui était infatigable, allait quelquefois chasser les tourterelles, tirer un faisan, une perdrix ou un sanglier. Lowe fit lâcher
Vous êtes-vous figuré, si loin de tout contrôle et de tout redressement, dans cette irresponsabilité complète, avec une autorité sans limite et des victimes sans défense, la tyrannie possible d'une âme méchante et basse? Messieurs, les Sainte-Hélène produisent les Hudson Lowe. Ici, du moins, en France,
Dans ce drame lugubre, comme dans presque toutes les affaires humaines, la comédie a sa place et la farce même se glisse. La comédie, c'est sir Hudson Lowe qui se charge de la fournir, avec ses haricots et ses jetons. La farce, c'est l'histoire des commissaires.
Sur cette question des rapports directs et personnels, Napoléon avait raison. Lowe lui déplaisait
Il voyait dans chaque officier un sir Hudson Lowe, dans chaque grand seigneur un Lord Bathurst, ordonnant les infamies de Sainte-Hélène et en recevant la récompense par dix années de ministère. A Londres, il connut enfin la haute fatuité. Il s'était lié avec de jeunes seigneurs russes qui l'initièrent.
En présence et en face de cette antique Europe refaite, les linéaments d'une France nouvelle s'ébauchèrent. L'avenir, raillé par l'empereur, fit son entrée. Il avait sur le front cette étoile, Liberté. Les yeux ardents des jeunes générations se tournèrent vers lui. Chose singulière, on s'éprit en même temps de cet avenir, Liberté, et de ce passé, Napoléon. La défaite avait grandi le vaincu. Bonaparte tombé semblait plus haut que Napoléon debout. Ceux qui avaient triomphé eurent peur. L'Angleterre le fit garder par Hudson Lowe et la France le fit guetter par Montchenu. Ses bras croisés devinrent l'inquiétude des trônes. Alexandre le nommait: mon insomnie. Cet effroi venait de la quantité de révolution qu'il avait en lui. C'est ce qui explique et excuse le libéralisme bonapartiste. Ce fantôme donnait le tremblement au vieux monde. Les rois régnèrent mal
L'Autrichien Sturmer dit qu'il aurait été impossible de faire un plus détestable choix. Il eût été difficile de rencontrer en Angleterre un homme plus gauche, plus extravagant et plus désagréable. «Je ne sais par quelle fatalité sir Hudson Lowe finit toujours par se mettre mal avec tout le monde. Accablé du poids de la responsabilité dont il est chargé, il s'agite, se tourmente sans cesse, et éprouve le besoin de tourmenter les autres.» Il écrit encore,
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