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Mis à jour: 24 juin 2025
Avant de partir pour Québec, l'abbé Faguy avait convoqué tous les notables de sa paroisse pour leur apprendre l'heureuse nouvelle du retour prochain de Jean-Charles Lormier et les inviter
Jean-Charles Lormier, dis-tu? N'est-ce pas ce même jeune homme qui s'est tant distingué
Oh! en courageuses et saintes femmes qu'elles sont! C'est M. Lormier, père, qui leur a annoncé la triste nouvelle. Il leur a répété, mot pour mot, les consolations que M. le curé lui avait dictées. D'abord, il leur a certifié que Jean-Charles n'était pas en danger et leur a fait comprendre que Dieu avait permis ce malheur pour empêcher leur fils de retourner sur le champ de bataille, où il aurait été probablement victime de son héroïsme. En un mot, il leur a fait accepter ce malheur comme une chose inévitable et qui devait tourner
Ainsi que l'abbé Lormier l'avait prévu, les religieuses furent bien désappointées en recevant de Mgr Bourget une lettre par laquelle il leur apprenait qu'une affaire urgente l'appelait le même jour
Il y prit place avec l'abbé Faguy, le maire de Sainte-R... et le député du comté. Et quand le carrosse, qui était précédé d'une fanfare, arriva sur la place de l'église, où la foule joyeuse était réunie, le canon fit entendre sa voix retentissante, puis les assistants agitèrent leur chapeaux ou leurs mouchoirs en criant: «Vive Jean-Charles Lormier! Vive le héros de Châteauguay!»
Hélas! soupira la mère Lormier, nous avons peut-être gâté Victor en le choyant trop... C'est justement ce que me disait l'autre jour le curé de Saint-Denis, reprit le père Lormier. Comment! tu as osé te plaindre de Victor au curé de Saint-Denis?...
Victor Lormier, qui avait entendu parler du prochain départ de M. de LaRue pour Montréal, résolut d'aller lui faire ses adieux et lui demander en même temps des nouvelles de Corinne, car il n'avait pas osé revoir M. de LaRue depuis l'élection. Mme de LaRue ayant vu venir le notaire, voulut le recevoir elle-même.
Tous savaient que le notaire Lormier avait été blessé par une balle et qu'il était mort de sa blessure; mais la plupart, ignorant encore les détails de la tragédie, croyaient tout bonnement que Jean-Charles, dans un moment de colère et de découragement, avait tué son misérable frère afin de s'en débarrasser...
Dans une lettre qu'elle avait récemment, écrite au père Lormier, après avoir fait de Victor; l'éloge le plus pompeux, elle terminait par ces mots: «Vous pouvez remercier le bon Dieu, mon cher cousin, de vous avoir donné un fils qui vous fait déj
Certainement, M. le curé! et je vous prie de croire que je n'avais pas l'intention non plus de les lui donner. Je savais que M. Lormier était trop sérieusement blessé pour pouvoir aller
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